Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 13:32

okok.png

Le 08 août prochain, en guise de couronnement à la ridicule et honteuse mascarade électorale qui lui a permis de perpétrer un nouveau rapt électoral, le Sultan président Idriss Déby Itno compte prêter serment pour un quatrième mandat à la tête de l’Etat du Tchad.

Ce sera certainement l’occasion d’un rendez-vous que de nombreux chefs d’Etats amis de notre pays martyrisé voudront certainement honorer.

Mais ce sera une fois de plus l’occasion pour notre peuple d’exprimer son refus de la dictature, son ras le bol vis-à-vis de cet autocrate barbare, et sa détermination à se battre jusqu’au bout pour sa liberté, et la libération du Tchad.

Il est donc clair que la contestation continue.

Ainsi :

Nous, membres du Collectif des Jeunes Patriotes Tchadiens pour la démocratie et la Paix (CJPTDP),

Interpelons de nouveau le Peuple Tchadien à la continuation de la contestation que doivent mener sans relâche la jeunesse et toutes les forces dynamiques du Tchad.

Notre contestation dans la rue doit continuer, et ne prendra fin que grâce à notre opiniâtreté à refuser - dans la rue - de nous résigner à subir ce tyran pendant cinq ans encore.

Ainsi,

Nous appelons de nouveau à une manifestation dans la rue le 08 Août 2011, jour de l’Investiture et de la prestation de serment du tyran DEBY ITNO.

Pour dénoncer avec force et véhémence aux yeux de la communauté internationale, - comme le font aujourd’hui tous les peuples soucieux de se prendre réellement en charge - le viol de la dignité du peuple Tchadien par la dictature barbare d’Idriss Deby Itno à travers le couronnement définitif des résultats iniques du faux scrutin du 25 Avril dernier.

Nous appelons de nouveau tous les citoyens à descendre dans la rue, Place de la Nation face au Palais présidentiel, le 08 Août 2011 dès 06 heures du matin pour exprimer et manifester la détermination du peuple Tchadien à voir une véritable Démocratie s’installer dans notre pays.

 Tchadiens, tchadiennes du Nord au Sud, de l’Est à L’Ouest ;

Levons –nous comme un seul homme ce jour là Pour dire NON !

NON à la perpétuation du régime sanguinaire du Sultan Deby Itno !

Fait à N’djamena le 24 juillet 2011

Pour le Collectif des Jeunes Patriotes Tchadiens pour la démocratie et la Paix (CJPTDP),

 

La coordination nationale

 

Mahamat M.K et François D.N

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 02:46

Dans quelques jours, nous allons accueillir Incha Allah un mois béni, en l’occurrence le mois saint de Ramadan dont Dieu (qu’Il soit glorifié) a prescrit le jeûne. C’est un hôte de marque qui ne vient pas les mains vides. Chaque année, pendant un mois, des musulmanes et des musulmans à travers le monde jeûnent du lever jusqu’au coucher du soleil. Cela, non seulement pour respecter la prescription divine dans la sincérité de l’intention et la conformité des enseignements prophétiques (Âhâdices), mais surtout, par une méditation intense et pieuse élever la perspective de leurs aspirations spirituelles au-delà de son horizon limité. L’objectif étant d’accéder à une véritable quête spirituelle (la crainte révérencielle) pour obtenir l’agrément de Dieu et la tranquillité intérieure.

 

Cette expérience intense dans le sacrifice de soi, la discipline des désirs et la proximité avec Dieu appelle le musulman à en faire une pratique essentielle, non seulement pendant ce mois, mais durant toute sa vie. On voit donc que le mois de Ramadan qui occupe une place toute particulière dans l’Islam, constitue un Trésor inestimable d'opportunités de récolter toutes sortes des bienfaits (hassanats), et surtout de s'élever dans l'excellence (al-ihsâne) en ayant constamment la présence d’Allah dans son esprit. Il s’agit ici de se rapprocher davantage d'Allah par le cœur, l'esprit, la pratique et le culte.

 

C’est aussi un Trésor pour l’individu qui jeûne pour Dieu et de la famille qui se réunit en Dieu. Le Ramadan, une excellente occasion à ne pas rater en suivant les enseignements du prophète de l’Islam qui s'est toujours efforcé de convier les hommes vers la voie la plus belle et la plus noble, la voie de Dieu (siratâl-mûstâqhîm), afin de leur permettre d'accéder au salut dans ce monde et dans l'autre. Comme chaque année, nous essayerons avec l’aide de Dieu de vous faire profiter de ses bienfaits au travers de nos contributions modestes.

 

L’exercice spirituel que procure le jeûne du Ramadan nous rappelle simplement que nous ne sommes pas maîtres de nous-mêmes, mais de simples créatures de Dieu et que nous Lui appartenons. Cet exercice nous rappelle que finalement nous ne sommes que de passagers sur cette terre. Tout croyant sait qu’à Dieu appartient ce qu’il a repris et à Lui appartient ce dont il a fait don. Et toute chose a, auprès de Lui, un terme bien déterminé. Beaucoup d’entre nous oublient cela et souvent on est emporté par les délices de la vie. Que vaut la durée du temps, si nous ne savons pas apprécié chaque instant qui la compose!

 

Dans ce contexte, ne jamais oublier de réaffirmer que l’Islam, régi par le principe d’Unicité de Dieu (Tawhîd Al Ilâhi) prône la paix, l’amour, la justice, la quête du savoir, la tolérance, l’humilité, la générosité, la solidarité, la conciliation, le pardon, le dialogue, le travail sur soi, l’humanisme… avec un discours ferme dans son essence, souple dans ses formes d’expression. Il serait difficile d’accéder à la compréhension profonde de l’initiation spirituelle (Tawhid) sans une méditation intense et continue sur la vie du prophète Muhammad (paix et salut soient sur lui).

 

Le Prophète occupe une place très importante dans la conscience et la vie des musulmans. Il est celui qui a reçu et transmis la dernière Révélation, c’est-à-dire le Coran qui est le socle de l’identité spirituelle du musulman avec bien entendu la mise en œuvre de ses enseignements intimes, individuels et communautaires. Révélé pendant le mois de Ramadan, le Coran repose en grande partie sur l’affirmation de trois principes:

 

- L’affirmation de l’unicité de Dieu dont dépendent l'existence et la subsistance de l'homme,       et à qui ce dernier doit alors vouer un culte exclusif.

- L’affirmation de la mission prophétique de Muhammad, messager envoyé par Dieu à toute l’humanité et transmetteur fidèle de l’enseignement divin.

- L’affirmation que la résurrection et l’au-delà sont une réalité indéniable.

 

Ce socle de principes donne un sens profond à notre vie. Il nous rappelle l’observance de devoirs envers Dieu, ce que l'on appelle les actes cultuels (al-ibâdât) et celle d’autres devoirs vis-à-vis des hommes, c’est-à-dire les relations interpersonnelles (al-mu-amâlât).

 

Le Coran nous rappelle également la place éminente de l’Envoyé de Dieu, tout à la fois Prophète, modèle et guide. Aïcha, l’épouse du prophète de l’Islam (Que Dieu l’agrée) nous a offert la pertinente formule ; il vivait du rayonnement de la Révélation : dans ses prières, son engagement, ses silences, son honnêteté, son amour…, son comportement, sa morale, son caractère était le Coran.

 

De ce fait, il est incontestablement prouvé que le développement de l’Islam n’est pas dû à la force de l’épée, mais à la simplicité du prophète, à sa précision, au fait qu’il honore ses promesses, à sa loyauté envers ses compagnons, à sa bravoure et à sa grande foi en son Dieu et son message. Ce sont ses qualités qui lui ont facilité la voie et lui ont permis de dépasser les obstacles. Lamartine disait que : « Si les critères permettant de juger le génie d’un homme sont la noblesse des fins et les résultats obtenus malgré le peu de moyens, personne ne peut oser comparer le génie du prophète Muhammad à celui d’autres grandes personnalités de l’histoire contemporaine. »

 

Au regard du contexte d’aujourd’hui, il est primordial que chacun puisse fortifier son sens spirituel et de la soumission à Dieu. En effet, l’époque actuelle de la mondialisation accentuée, de la domination des valeurs matérielles dépourvues de tout sens spirituel et des nobles valeurs humaines, a contribué à l’émergence de l’homme qui ne vit que pour lui-même et pour ses plaisirs, qui ne valorise pas la vertu, ni la noblesse, ni l'honneur, ni la solidarité, ni la compassion, qui ne se préoccupe pas des conséquences de ses actes et de ses discours sauf s’il s’agit de profit sans âme et d’argent sans odeur.

 

Cette conception est encore plus marquée chez de nombreux dirigeants qui se proclament croyants. Rappelons simplement que dans un hadith rapporté par Muslim, le prophète disait que : « Dieu ne considère pas vos apparences mais vos cœurs et vos œuvres. » Le travail qui incombe à chacun de nous, plus spécifiquement durant ce mois de Ramadan, est d'améliorer nos cœurs et nos œuvres pour les rapprocher des prescriptions divines. « Dieu ne modifie rien en un peuple avant que celui-ci ne change ce qui est en lui. » (Coran XIII, 11).  

 

Les enseignements coranique et prophétique sont plein de bon sens et constituent un meilleur bagage pour ne pas se laisser séduire par le charme des attractions mondaines et ainsi se préparer dès maintenant à l’ultime rencontre avec Dieu. Gardons à l’esprit qu’on doit rendre des comptes et rappelons qu’on peut retarder un voyage, on peut annuler un rendez-vous, mais on ne peut ni annuler ni reporter la mort. Mettons à profit notre vie, dans tous ses aspects pour laisser quelque chose de constructif à la postérité.

 

Nous espérons que chacun d’entre nous au plus profond de lui-même puisse profiter de nombreux avantages de ce pilier important de l’Islam, qu’est le mois de Ramadan.

 

Brakallahou fikoum et un excellent Ramadan à toutes et à tous.

 

Talha Mahamat Allim

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 21:40

Nous avons l’honneur de porter à la connaissance de l’opinion publique tchadienne, canadienne et celle internationale un certain nombre de situations préoccupantes qui doivent attirer l’attention de plus d’un observateur, d’un acteur ou des victimes. Ainsi beaucoup de cas suivants font l’objet de notre inquiétude manifeste dont notre réaction est tout à fait légitime et immédiate.


Au niveau national:


1) Concernant le bruit de retrait des troupes françaises du Tchad, toute personne qui veut savoir les vraies raisons pourraient contacter notre frère Dr Ley, le SG de l’ACTUS et aussi veuillez lire leur communiqué. Les peuples tchadiens n’ont aucune confiance ni avec le régime d’Idriss Deby moins encore celui de Sarkozy; ces dictateurs n’ont qu’à faire comme d’habitude ce qui leur semble bon.

2) Concernant la réaction de notre frère Acheick Ibn Omar, il y a des critiques à son endroit le qualifiant de supporteur clandestin de Deby. Nous ne croyons même pas un instant qu'Acheick puisse travailler pour Idriss Deby jusqu'à preuve de contraire. De toute façon, nous pensons que toute personne est libre de s’exprimer comme il ou elle veut et c’est cela l’un des principes fondamentaux de la démocratie parce que c’est leur droit le plus absolu, le contraire c’est la dictature. Nous n’en voulons personne d’avoir émis son opinion personnelle. N’oublions pas d’admettre que le plus souvent, ce sont les critiques subjectifs, non instructifs et négatifs qui pourraient produire l’inverse de ce qu’on pense, c't-à-dire peut-être s’agira-t-il de toute une autre réalité.

3) Concernant le cas du Sud du Tchad, nous continuons de plus en plus d'entendre des voix s'élever pour une indépendance du Sud du Tchad; personnellement, moi Monsieur Korei Djimi , en tant que moi-même j’apporte tout mon soutien total aux peuples frères du Sud dans leur vision et cet avis n’engage que ma seule voix; mais seulement nous pensons que les minimums conditions légales et juridiques ne sont pas au Rendez-vous pour réclamer une telle cause en ce moment ou les choses sont à la volonté et au bon soin d'une seule personne comme Idriss Deby Itno qui est le vrai acteur d'un “Septembre Noir” dans le Sud en 1984. Donc tout notre souci est de ne pas précipiter les choses pour une nouvelle guerre dans le Sud; nous estimons que le temps arrivera où les choses se dérouleront dans la paix et démocratiquement.

Nous RTJ (la Révolution Tchadienne pour la Justice), avons bien l’intention d’apporter un vrai changement dans ce sens au Tchad dont quelques exemples de nos projets comme ci-dessous. D’ailleurs, il faut avoir un idéal, des objectifs clairs pour un avenir sûr et certain. Un pouvoir du peuple, par les peuples et pour les peuples est le seul pouvoir collectif et légitime des peuples:

a) D’abord une justice équitable, la Loi de “œil pour œil, dent pour dent” est la meilleure des justices, car la preuve en est que dans cette loi, même votre propre enfant doit absolument passer par la même règle que toute autre personne incluant des étrangers. Aucune exception, aucun détour, la Loi c’est la Loi. Il faut que les Lois “fondamentales” soient respectées à la lettre pour que les choses marchent dans l’ordre irréversible. Par exemple, dans tous les pays des régimes dictateurs aucune loi n’est fonctionnelle dans l’intérêt des peuples. Rappelons-nous de la citation de Montesquieu (1689-1755, philosophe, sociologue, écrivain et homme politique français) qui dit, en quelque sorte, que le pays cesse d’exister parce que les lois ont cessé d’exister (?), et c’est ce qui est arrivé au Tchad avec le régime d’Idriss Deby!

b)  Instaurer une réelle démocratie où tous les peuples, toutes les communautés tchadiennes, toutes les personnes d’extra-orientations sociales et socioculturelles soient libres de s’exprimer sur leur volonté, leur vision, leur désir, etc. Sans ces genres d’ouverture, il n’y aura ni démocratie ni liberté d’expression moins encore une justice digne de son nom.

4) Les crimes d’Idriss Deby frappent aux portes de Canada; concernant le cas des activités dites “MPS Canada”; d’abord nous remercions les personnes qui viennent de nous informer de ces affaires au grand jour! Nous avions affirmé dès le départ que toute personne est libre de s’exprimer ou d’agir selon sa conscience de ce qu’elle pense juste de le faire. Bien avant ces nouvelles, nous avions entendu qu’il y avait des gens qui auraient fait des listes de toutes les personnes vivant au Canada afin de satisfaire leurs besoins sociaux auprès d'Idriss Deby. Pourtant, les 80% de tchadiennes et tchadiens vivant actuellement au Canada auraient déclaré à l’Immigration et Citoyenneté Canada qu’elles ou ils ont été persécutés par Deby.

Mais seulement il y a la différence de choses: Émettre ses opinions personnelles est tout à fait légitime mais des actions telles que frauder l’image d’une autre personne à son insu n’est pas légitime. D'autres prétendues fraudes de genre fiscal, financier ou monétaire, c'est l'affaire qui regarderait  GRC (Gendarmerie Royale du Canada) et ou SCR (Service Canadian de Renseignements et d’Intelligence).

D’autre part, à la suite de la publication de ces nouvelles de « MPS Canada », il y a eu de commentaires sur le Blog de notre frère Makaïla qu’il n’y a pas d’opposants au régime de Deby au Canada. Nous acceptons cela en tant que l’idée d’une ou des personne(s) corrompues où qu’elles soient qui voulaient juste salir les autres mais la vérité verra le jour du moment que le Canada n'est pas comme le Tchad d'Idriss Deby...!

5) Le cas de Brahim Deby; de un, la justice française ne nous a pas convaincus, parce que les assassins sont soit coupables dont le verdict doit être une peine capitale (la vraie justice c'est quand une personne a enlevé la vie d'une personne ne doit jamais connaitre une autre vie que connaitre le même destin), soit par défaut de cela, une prison à vie ou encore minimum de deux à trois décennies de prison effectives, c'est-à-dire aucune possibilité de recours avant une durée maximum et ce n'est pas parce qu'Idriss Deby est criminel reconnu que son fils Brahim Deby un citoyen tchadien doit être négligé de cette façon. Ce qui est trop inquiétant pour nous les africains francophones à l’heure actuelle, c’est ce qu’il n’y a non seulement au Tchad mais même pas en France une justice indépendante et impartiale!

Au niveau de politiques étrangères:


Vu les effets de la technologie et de la mondialisation, hier comme aujourd'hui, plus grave pour un lendemain inconnu tout commence à être lié d'une manière ou d'une autre sur la terre:

6) Concernant le cas de Colonel Kadhafi, le seul et seulement seul acte de l’ONU et ou de l’OTAN que personnellement nous avions accepté du fond de notre cœur jusqu’à présent est celui de vouloir déloger du pouvoir le fou de Syrte parce que cet animal sans queue a fait beaucoup du mal dans le monde entier incluant son propre peuple. Pendant plus de 42 ans, il avait massacré les peuples libyens et aujourd’hui il veut en venir à quelque chose d'inimaginable et invraisemblable mais possible pour lui contre son propre peuple.

 De toute façon, les peuples libyens sont entre le marteau et l’enclume mais comme dit le proverbe français, nous citons: “de deux pires, il faut choisir le moindre” fin de citation; l’OTAN et l’ONU, comme ils se sont déjà engagés officiellement doivent en finir avec le régime de Kadhafi une fois pour toujours même s’il faut une force terrestre sous mandat ONU.

7) Concernant l’Union Africaine, la Russie et la Chine; c’est trop marrant et incompréhensible de chercher à soutenir dans ce cas-ci le régime de Kadhafi plutôt que soutenir les peuples libyens, par exemple, non seulement qu'il a massacré tout le monde mais il y a des gens qui ont fait 35 ans de cellules de prisons sous-terrainées sans voir le soleil ! Il faut être sans état d’âme pour soutenir des personnes si cruelles comme Kadhafi et autres similaires. Le fait que tous les dictateurs soutiennent Kadhafi est une chose mais pour l'Afrique du Sud c'est inconcevable, parce que pourquoi ne pas avoir de sentiments de solidarité avec tout un peuple au lieu d’une seule personne?

Enfin, nous pouvons conclure avec quelques remarques suivantes; en ce moment où le monde entier même a déjà dépassé les phases de l’ordre par l’empire mais étant contrebalancé entre l’ordre par l'équilibre et celui par la démocratie, les seuls pays comptés très récemment comme exemplaires en démocratie en Afrique, le Sénégal et l'Afrique du Sud risquent de basculer vers la dictature. Le prétendu cas de retrait des troupes françaises du Tchad, la vision d'un Sud du Tchad indépendant, les crimes de MPS Canada, etc., laisseraient encore beaucoup d’interrogations et de suspens dans l’esprit de tchadiennes et tchadiens au de-là de nos simple et légitime réactions.


Korei Djimi, Président de RTJ.

kodjimi@yahoo.fr

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 18:04

 

     Depuis le samedi 9 Juillet dernier l’opinion Africaine s’est une fois de plus branchée sur le procès de l’ex président du Tchad Hissein Habré avec cette tonitruante déclaration du chef de l’Etat Sénégalais qui avait voulu ni plus ni moins expédier son hôte à N’djamena s’y faire juger !

HH_complot_international_photo_montage_NDJM.JPGEt du coup, c’est un peu tout le monde, aux quatre coins de l’Afrique, qui n’en finit plus de se poser des questions. Tout le monde, y compris Idriss Deby en personne qui sait pertinemment qu’un éventuel jugement d’Hissein Habré consistera plus à faire le procès d’un régime et d’un système – où il occupait la fonction de patron de l’Armée – que de condamner les yeux bandés le chef de l’Etat déchu dont on aura du mal à établir la culpabilité certaine quant aux dizaines de milliers de présumées victimes dont les organisations de droits de l’homme parlent avec effroi.

Car en matière de crime, c’est connu, la responsabilité est individuelle. Ainsi, au-delà de l’émotion que suscitent indéniablement les horribles chefs d’accusation portés, il faut l’avouer, de façon on ne peut plus furieuse contre la seule personne du président Hissein Habré, personne n’ignore que logiquement, sa traduction devant un quelconque tribunal exigera forcément et absolument la présence à ses côtés d’Idriss Deby que le coup d’état réussi contre son ancien mentor n’absoudra jamais.

 

Hissein Habré : responsable ou coupable ?

 

Mieux, si l’on prend la peine de faire abstraction de toute sensiblerie, n’est-il pas utile, maintenant que nous avons l’occasion de regarder froidement les brulants chefs d’accusation, de se demander si effectivement, Hissein Habré peut avoir ordonné de faire tuer 40.000 personnes en l’espace de huit ans d’un règne ponctué de conjurations répétitives, de frilosité politico sociologiques, d’excès de zèles divers dans les services de sécurité, d’impitoyables règlements de comptes ?

Quand les responsables de la DDS – devenue aujourd’hui l’ANS - interpelaient tout suspect d’idées ou d’actions considérées subversives ou dangereuses, était-ce sur ordre direct du président de la république ?

C’est pour cela qu’Hissein Habré, dans une interview accordée il y a quelques jours au journal sénégalais « La Gazette », a déclaré : « "On veut rendre justice au Tchad et aux Tchadiens, n'est-ce-pas? Je suis totalement consentant, je suis totalement d'accord qu'on organise une justice internationale indépendante, selon les normes du droit et que tous les Tchadiens à qui on reproche quelque chose viennent se présenter devant cette juridiction. Y compris Hissein Habré, y compris les anciens présidents du Tchad",

Hissein Habré, qui vit en exil à Dakar depuis sa chute en 1990 après huit ans de règne, est accusé- il importe de le rappeler - de crimes contre l'humanité, crimes de guerre et torture.

Des accusations graves pour lesquelles il importera indubitablement de faire la part des choses quant au distinguo nécessaire à établir entre la culpabilité et la responsabilité.

En clair, Hissein Habré est-il coupable ou responsable de ces démentiels chefs d’accusation ? Il faudra l’établir de manière sérieuse.

Néanmoins, le vendredi 8 juillet dernier, le gouvernement sénégalais avait annoncé qu'il allait expulser Hissein Habré au Tchad - où il avait pourtant été condamné à mort par contumace - avant de revenir 48 heures plus tard sur sa décision, à la demande de la Haute commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Navi Pillay qui a bien vite compris qu’à N’djamena, on n’appliquera que la loi du vainqueur.

 

Tous contre la tenue d’un procès à N’djamena

 

Mais il n’y a pas que Mme Pillay à s’être émue de l’absurde éventualité de la tenue d’un procès à Ndjamena, car une demi dizaine d’associations de protection des droits de l’homme, ainsi que celles des présumées victimes du régime Habré ont freiné des quatre fers quant à un éventuel jugement devant la justice Tchadienne de l’heure.

Ainsi, Me Ndiaye, conseiller du collectif des présumées victimes du régime Habré, estime que « c’est au nom de la défense des droits de l’homme que les avocats des victimes se sont déclarés défenseurs de Habré pour la circonstance. Une attitude qui, à son avis, procède du "charme des droits de l’homme".
"S’il y a cette mobilisation, a affirmé Me Ndiaye, c’est parce qu’on a violé un principe élémentaire : le droit de garantir à tout le monde un procès équitable."

Lire la suite sur Ndjamena-matin

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 01:53

Le dernier développement de ce qu’on appelle l’affaire Hissein Habré, a révélé à la face du monde deux enseignements importants pour le Tchad et le Sénégal. D’une part, l’absence marquée de confiance de l’opinion tchadienne, africaine et internationale vis-à-vis des  institutions républicaines du Tchad, en particulier de sa justice. Pour s’en convaincre, il suffit de se reporter aux réactions farouchement négatives de l’opinion tchadienne, des ONG et des instances internationales face à la volonté du gouvernement tchadien d’assurer la sécurité de l’ancien président tchadien et d’organiser un procès équitable en concertation avec les différents partenaires concernés.

 

D’autre part, l’attitude paradoxale du pouvoir sénégalais marquée par des contradictions dans le discours du gouvernement sénégalais, du moins sur l’exécution de la décision d’extradition prise par ce dernier dans l’affaire Habré. Le revirement manifesté dans l’engagement politique du Sénégal rend inaudible la parole du politique et le décrédibilise. A partir de ces deux enseignements de ce feuilleton politico-diplomatique, on s’aperçoit que ce scandale juridique

relève plus d’une stratégie de diversion au Tchad et au Sénégal que d’une volonté politique réelle de rendre la justice aux victimes.

 

Le manque de confiance du peuple tchadien en ses dirigeants et ses institutions n’est plus à démontrer. Il trouve ses origines dans les pratiques observables au niveau des différentes sphères du fonctionnement de l’Etat, du plus bas échelon au plus élevé. En principe, la fonction première d’un Etat est d’assurer la protection de ses citoyens contre toutes les formes d’injustice et de violence. Néanmoins, que constate-t-on dans le cas tchadien.

 

La plupart de ceux qui sont détenteurs du pouvoir, à quelque niveau que ce soit, produisent des injustices et créent des violences, dans une large mesure contre leurs propres concitoyens. Utiliser la force contre ses propres concitoyens pour les dominer et les faire plier, est malheureusement banal et trop fréquent au Tchad. Les injustices massives commises par l’Etat contre ses propres citoyens constituent une singulière perversion de l’ordre politique au Tchad.

 

Le fait que les tchadiens se détournent de la justice officielle au profit des mécanismes et instruments traditionnels est plus révélateur de ce manque de confiance. Ce manque est en outre renforcé par le fait que, comme le disait un compatriote, le centre du pouvoir d’Etat n’est pas dans les institutions officielles, mais dans les réunions des familles régnantes et de leurs alliés. Cette conception de l’exercice du pouvoir tend à confirmer l’analyse de l’ancien ministre des affaires étrangères français Hubert Verdine qui a déclaré que " le Tchad est l’un des pays africains où l’Etat n’a jamais réussi à s’enraciner ...."

 

Ce qui a pour conséquence l’accélération de la faiblesse de l’Etat et la prédominance des pratiques, des règles et des traditions coutumières, ethniques et tribales. Souvent, les décisions de la justice officielle sont peu considérées, contestées, voire même refusées.

 

Un imminent enseignant-chercheur et homme de droit tchadien a poussé la réflexion plus loin en faisant observer qu’au Tchad, chaque groupe ethnique pense à armer les siens pour se protéger et tenter de survivre dans cette jungle qu’est devenu le Tchad. Le pouvoir est clanique, la rébellion est clanique, les individus ne s’expriment et ne se réfèrent qu’aux repères identitaires dont les piliers sont les chefs de races, les chefs de cantons, les chefs de fil, les chefs de tributs, les chefs de famille… La société est hiérarchisée en pyramide. Les familles régnantes au sommet, les alliés, les co-régionaires, les coreligionnaires, les courtisans, les militants et les autres dominés et soumis à la loi du plus fort intouchable sont au bas de la pyramide. Cette observation pertinente traduit la réalité sociologique et politico-économique du Tchad actuel.

 

Il nous semble important que l’Etat n’a pas le droit de se retourner contre ceux qu’il devrait protéger. Sa manière d’agir déterminera au mieux sa volonté ou non d’être au service de l’intérêt général. Il est aussi important de noter que les décideurs politiques, au lieu d’être des extincteurs d’espoir, doivent être des serviteurs qui ont une vision novatrice pour leur pays, et des valeurs à partager qui permettent de voir autrement que par rapport à leur propre centre d’intérêts.  Ce qui n’est pas le cas au Tchad d’aujourd’hui.

 

Dans un tel contexte, il est inconcevable de projeter un procès d’Hissein Habré au Tchad, car les conditions d’un véritable procès, équitable aussi bien pour les victimes que pour leurs bourreaux ne sont pas réunies.

 

En ce qui concerne le deuxième point, c’est-à-dire la décision du Sénégal de revenir sur sa décision, cette ambivalence montre les incohérences et les précipitations d’un pouvoir affaibli par une situation nationale difficile à la quelle fait face le président Wade. Lorsqu’un Etat prend une décision importante, il se pose immanquablement des questions sur les conséquences et les différents contours d’une telle décision. Sur ce plan, le démocrate Abdoulaye Wade a raté son coup et fait de la diversion politique. 

 

Sur le contentieux Hisein Habré, il est primordial que justice soit rendue aux nombreuses victimes de cette période. Si les africains ne veulent pas qu’un de leur soit traduit et jugé par des instances non africaines, il appartient à l’Afrique de créer les conditions nécessaires pour que tous ceux qui ont commis des atrocités puissent être déférés devant les tribunaux africains. L’idée d’un tribunal spécial africain avec pour siège dans un pays d’Afrique où règnent la démocratie, la bonne gouvernance, l’Etat de droit, le respect des droits de l’homme et des instruments internationaux de justice s’avère indispensable.

 

Talha Mahamat Allim

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 03:02

 

ÉTUDE - Des experts britanniques tirent la sonnette d'alarme...

C’est l’été, les programmes minceurs sont de sortie et avec eux la sacro-sainte règle selon laquelle il faut boire beaucoup d’eau (au moins 1,5 litre par jour). Seulement voilà, ce précepte est de plus en plus battu en brèche par les scientifiques. S’abreuver d’eau minérale toute la journée n’aurait pas les vertus escomptées…

Dans le British Medical Journal, le docteur Margaret McCartney attire l’attention sur le fait que boire 1,2 litre d’eau par jour (ou 8 verres) comme le recommandent les autorités sanitaires britanniques, n’a pas de sens.

Une maladie nommée «hyponatrémie»

Non seulement ce la ne permet pas de maigrir, de prévenir les problèmes rénaux ou d’améliorer la concentration, mais cela peut provoquer l’inverse. Boire trop d’eau ne coupe pas l’appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.

En outre, le fait d’aller aux toilettes la nuit perturbe le sommeil et «les produits chimiques utilisés pour la désinfection de l'eau en bouteille peuvent être mauvais pour la santé», souligne le docteur McCartney.

Selon elle, l’abus d’eau peut même conduire à une affection rare mais potentiellement mortelle appelée «hyponatrémie», qui provoque une diminution de sel dans l'organisme, pouvant conduire à  diminuer les niveaux et peut entraîner une hypertension intra-crânienne.

Incontinence urinaire

Et comme l’avait expliqué le docteur Brigitte Mauroy, urologue coordonnatrice du réseau Périnice, à 20Minutes, une surconsommation d’eau peut provoquer aussi une incontinence urinaire, surtout chez la femme. 

La spécialiste conseillait de boire 1,5 litre par jour, tous apports hydriques confondus (eau, café, thé, alcool, etc.) et d’aller aux toilettes toutes les deux heures. Alors pas besoin de se trimballer partout avec sa bouteille d’eau cet été, à moins bien sûr, lors de grosses chaleurs.

Catherine Fournier  
source:20minutes
Partager cet article
Repost0
13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 05:34

Vendredi, une Texane a accouché par césarienne d'un enfant pesant plus de 7 kilos, a indiqué lundi la presse locale.

Janet Johnson et de Michael Brown n'en reviennent toujours pas. Vendredi, ils ont accueilli dans leur famille JaMichael, un beau bébé de... 7,3 kilos ! Selon le Daily Mirror, l'enfant et la maman sont pour le moment sous surveillance dans un hôpital du Texas, aux États-Unis. "Nous sommes tout simplement stupéfaits", a confié Janet à un journal local. "Je n'arrive pas à croire qu'il soit si gros. Je ne pense pas que les gens ont souvent entendus parler d'un bébé de 7,3 kilos."

Les parents avouent avoir été pris au dépourvu après la naissance, les vêtements achetés pour l'arrivée du bébé étant trop petits : "La plupart des habits qu'on lui avait apportés sont trop petits. Il va falloir qu'on les rapporte". De son côté, le personnel médical a également dû faire face à quelques soucis, comme des pouponnières trop petites.

D'après les médecins, le diabète constaté durant la grossesse de Janet Johnson est la cause de la surcharge pondérale de JaMichael. Ce dernier a été placé en soins intensifs pour régulariser son taux de sucre dans le sang. 

Découvrez la maman et son bébé en vidéo :

 


 

 

Source: zigonet

Partager cet article
Repost0
13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 01:56

habre.jpg

Hissène Habré rompt enfin le silence. L’ancien président tchadien a réagi à la décision du gouvernement sénégalais de l’extrader vers son pays, avant de se rétracter sous la pression de la communauté internationale et des organisations de défense des droits humains. L’ancien homme fort de Ndjamena a accordé une interview exclusive à nos confrères de « La Gazette ». Dans un extrait choisi par Sud Fm, l’ancien dictateur tchadien parle de « l’exécution d’un complot d’assassinat politique ».

 

Hissène Habré dit à la fois être surpris et non de cette décision du gouvernement du Sénégal de l’extrader vers le Tchad. « Je suis à la fois surpris et non. Surpris parce que j’ai appris la nouvelle comme tout le monde, sans être informé. Même mes avocats n’étaient pas informés. Pourtant dans de situations pareilles, il y a des procédures à poursuivre », s’explique M. Habré.

 

« Je ne suis pas surpris parce que depuis 20 ans, nous vivons dans des situations comme celle-là », ajoute-t-il avant de rappeler qu’un jour « un avion mystérieux a atterri sur le tarmac de l’aéroport Léopold Sédar Senghor pour m’amener soit en Lybie soit au Nigeria ».

 

Hissène Habré relève par la suite la confusion du gouvernement sénégalais dans les termes. « Je ne comprends même pas. Tantôt on parle d’extradition, tantôt on parle d’expulsion », souligne-t-il. Avant de faire observer que « sans doute, c’est l’exécution d’un complot d’assassinat politique ; un complot politico-financier derrière lequel il y a le Guide libyen Mouammar Kadhafi ». Car, rappelle-t-il, « tout le monde connait mon opposition à Kadhafi à propos de la bande d’Aouzou ». Par ailleurs, il a salué l’hospitalité des Sénégalais. « Nous nous sentons, mon épouse et moi, chez nous au Sénégal », se félicite-t-il.

Source: seneweb

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 20:04

Excellence Monsieur le Président Me Abdoulaye Wade,

Nous avons l’honneur de venir auprès de votre très Haute Excellence vous exhorter à ne pas violer les droits universels de l’Homme, car vous n'ignorez pas que toute l'Afrique souffre non seulement de très mauvaise gouvernance mais beaucoup de ses régimes, surtout des pays comme le Tchad la vie des citoyennes et citoyens est dans la main d'une seule personne (Idriss Deby) comme un gateau à croquer.

Nous faisons savoir aux Peuples tchadiens que nous n’avons aucune intention d’un penchant quelconque de Président Hissein Habré par rapport à toute autre personne tchadienne victime ou plaignante mais notre réaction est bel et bien à cause de violations graves et sans precedent des droits de l’Homme que Me Abdoulaye Wade a commises en voulant remettre une personne à protèger dans les mains d'une personne si cruelle et ennemie jurée de l'interessé. D’ailleurs, de cette manière, Me Abdoulaye Wade est en train de non seulement bafouer les droits universels et internationaux mais c'est également une humiliation patente de son propre Peuple Sénegalais!

Par ailleurs, nous portons aussi à la connaissance de l’opinion internationale que sénegalaise qu’au Tchad il n’y a ni un respect des droits de l’Homme, ni une justice digne de son nom. Dans ce pays des Sao, seul Idriss Deby Itno est la justice. Qui est capable de prouver le moindre contraire? Pourtant les peuples tchadiens sont tenus en otage, qui dit otage, dit privé de tout. Ne croyez pas à quelques individus corrompus par Deby qui font comme s’il y a une paix et une justice au Tchad en ce moment!

Par la présente lettre, nous RTJ, organisation politique d’opposition demanderions à l’UA, l’UE, l’ONU de bien vouloir voler au sécours des peuples tchadiens qui sont à l’instant même privé de leurs droits les plus elementaires dont ils sont des personnes en danger permanent. Donc, nous luttons pour la justice, la paix et la démocratie au Tchad, car avec un pouvoir du peuple par les peuples que nous cherchons, non seulement Hissein Habré mais tout le monde, y compris les juges doivent passer à la justice pour qu'on refonde tout une nouvelle vie au Tchad parce que les vraies causes des problèmes du Tchad sont effectivement le manque de justice équitable avant tout, le manque de partage égal de ressources du pays, le manque de traitement égal des Peuples.

 Enfin, nous profitions la presente occasion pour reiterer une Énième fois de plus que, pour qu'il y ait une paix et une tranquilité dans cette sous-région autour du Tchad, de la Libye, du Niger, du Mali, il faut que les personnes diables comme Idriss Deby Itno, Colonel Gadafi soient degagés le plus tôt possible parce que ce sont eux qui sont materiellement capables de faire le chaud et le froid en même temps, ce sont eux qui ont adopté une stratégie et des techniques d'influencer et financer meme térrorisme international en faisant semblant de lutter contre. Qui ignore cela? Pourtant tout le monde est au courant de comportements d’Idriss Deby et de Gadafi a la longueur de decennies

Veuillez croire, Excellence Monsieur le Président, toutes nos considérations distinguées.

Fait à Toronto le 10 Juillet 2011.

Korei Djimi, Président de RTJ

 

Destinataires:

Gouvernmt du Sénegal

L’Union Africaine

L’Union Européenne

L’ONU                             

Toutes les ONG des droits de l’Homme

Tous les pays epris de paix, de justice et la democratie.

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2011 1 11 /07 /juillet /2011 12:15
Tuer, voler, arracher, occuper illégalement, arnaquer, sont des principes sacrés chez les ZAKHAWAS.
Ceux qui ne les connaissaient pas, les ont découverts vers 1990 car avant cette date, la majorité se faisait passr pour des Ouaddaiens ou Goranes pour les BIDEYAT.
 
Aujourd'hui, ils se livrent à leurs disciplines sportives au grand jour.
 
Comment comprendre qu'après plus de 30 ans , on abat quelqu'un qui était en service commandé ?
 
Est cela veut dire qu'un ZAKHWA est un homme à part et que m^me s'il comment une infraction, il ne doit ^tre ni poursuivi par la police, la gendarmeriz, ni la justice ?
 
Ils ont tué le fils de ADOUM MANANI dans une boîte de nuit. Un passeport diplomatique a été remis au criminel,  sa soeur  KHADIDJA NASSOUR a été honorée et imposée député et l'autre SIMBIL, nomée DAF adjointe de la Présidence, la même famille a assassiné un officier de l'air, membre de la même famille. De nombreux cas existent.
 
Honte à  ANNADIF, BICHARA ISSA DJADALLAH, ABDERAHMAN MOUSSA et tous les autres traitres
qui ne peuvent dire non à l'hummiliation.
 
Arrêtez de donner en mariage vos filles à ces criminels, voleurs.  
Pourquoi, peuvent ils tuer et ne pas être punis et personne ne peut manifester.
Je demande à tous les Arabes du Tchad de dire stop et de créer un mouvement qui pourra s'appeler KAFANA (ça nous suffit) à l'instar du Mouvement  Y en a marre du senegal      
 
KOUN FA YA KOUN
Toute chose a une fin.
HABIB SOULEIMEN IGUEHMIR
Partager cet article
Repost0