Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 18:08
Partager cet article
Repost0
16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 18:01

FORCES PROGRESSISTES POUR L’INDEPENDANCE ET LA RENAISSANCE

                                                                   F.P.I.R

                                    (Mouvement politico-militaire du Sud du Tchad)

                         

 

                                                               DIRECTOIRE POLITIQUE NATIONAL                                       

                                                                                               A

                                             Monsieur Abdelkérim Fidel Moungar président de l’ACTUS

                                           

Objet : Lettre ouverte                                                                                                                                      

                                                          

                                                      Cher compatriote !

 

Les organes de notre mouvement ont le regret de vous exprimer leur indignation face à vos actions ignobles, irresponsables et surprenantes.

 

Tous les Tchadiens ont pour seul souci, la PAIX.Cependant, celle que vous proposez  n’est pas celle que le peuple attend. Elle est, comme vous le dites si joyeusement, inscrite dans la politique de « main tendue » de Idriss Déby, votre dupeur d’habitude, qui a su vous pêcher une fois de plus, grâce aux pétrodollars des Tchadiens.

 

Cher « DOCTEUR », les membres de notre mouvement ne sont pas avides d’argent et de prestige comme vous. Il vous serait donc judicieux de proposer les millions que Deby vous a  remis pour eux, aux tchadiens qui vous ressemblent. Sachez que vous avez d’avance échoué en nous brandissant des promesses d’argent et des postes de responsabilité,alors que vous nous disiez quelques jours auparavant, que la paix n’a pas de prix. Vos propos ainsi contradictoires, montrent combien vous avez été acheté par Déby. Nous vous encourageons donc à évoluer dans votre logique de naïveté sans nous casser les oreilles avec vos multiples appels téléphoniques.

 

Nous attendons fermement la perdition que vous nous promettez. Nous tenons aussi à vous signifier que nous adhérons de façon péremptoire à la vision politique des responsables des mouvements rebelles de l’Est que vous traitez de tous les noms d’oiseaux.Donc faites l’économie de vos arguments basés sur des considérations régionales et religieuses qui n’ont aucun justificatif dans le contexte politique, social et économique du Tchad d’aujourd’hui. 

 

Le F.P.I.R croit en ses forces et reste unis à tous ceux qui œuvrent pour le départ de votre seigneur, le dictateur IDRISS DEBY.  Sur ce, nous vous souhaitons bon vent dans votre aventure politique.

 

Pour tous nos regrets

 

Le vice- coordonnateur, chargé de l’administration du mouvement

 

Monique DENEHODJIMBAYE

Partager cet article
Repost0
13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 16:14

Tout aurait  commencé il y a environ  une année au cours d’une rencontre  à Paris  entre le dictateur Déby et son éphémère ancien premier ministre de 5 mois environs,Dr Fidel Moungar accompagné de ses lieutenants.

 

Le dictateur Déby avait d’abord reçu Mr.Ahmat Yacoub son espion puis plus tard le compère de ce dernier, Dr. Fidel Moungar qui avait exigé alors que cette rencontre  soit  entourée d’une discrétion totale, selon une source digne de foi  emanant de la délégation présidentielle.

C’est au cours de  cet entretien que  Déby fut miroité à Mr.Moungar la promesse du poste de premier Ministre lors du prochain remaniement ministériel à condition de réussir la mission préliminaire qui lui sera confiée. Ce dernier surexcité par l’offre alléchante, saute sur l’occasion  et devint depuis ce jour le thuriféraire du dictateur à l’instar du grand griot de l’ancien président Tombalbaye. Les Tchadiens qui avaient assisté à la Conférence de presse de l’allié de Déby, Fidel Moungar  furent dégoûté par les courbettes de ce dernier qui clamait avec une certaine fierté et sans aucune retenue les louanges suivantes : « Idriss Déby est le président légal que tout le monde doit reconnaître(…), J’ai l’honneur de parler au président,  j’ai l’honneur de travailler avec le président,  j’ai le plaisir de recevoir un appel du chef de l’Etat »

L’un des Tchadiens qui a assisté  à cette conférence de presse fut profondément déçu et amère car  deux membres de sa famille furent assassinés par le tyran Déby. Il lâcha sa colère en des termes virulents : « Je regrette d’être venu perdre mon temps en assistant à la séance de bénédiction  d’un criminel par sa Sainteté  Fidel Moungar… cet Homme est sans honneur, sans dignité et sans avenir politique dès aujourd’hui… il a trahi tous ceux qui croyaient encore à lui. Son opportunisme avéré et son goût immodéré pour l’argent et le pouvoir ont éclaté au grand jour » Les mêmes observations et  éloges de Moungar à l’endroit de Déby, furent  relèvées dans le journal Progrès dans sa livraison du 5 novembre 2008 sous le titre : « Fidel Moungar regarde vers N’Djaména »

 

Selon un membre de l’administration présidentielle, le Président Déby aurait confié à Fidel Moungar  la mission  d’organiser  et de créer un « pôle » selectif  de ralliement  comprenant  des opposants armés, civiles, des cadres sudistes  et surtout de sa région.

Les sorties médiatiques de ces derniers mois de Fidel Moungar après une longue période d’hibernation depuis son éviction du pouvoir seraient liées à ce plan de large débauchage et de déstabilisation de l’Opposition armée. Selon certaines sources, il aurait réclamé au dictateur des moyens financiers conséquents pour l’accomplissement de cette mission d’infiltration et de sabotage de l’Opposition. Ce qui fut fait avec beaucoup de largesse par le dictateur Déby. En effet, les pétrodollars coulent à flot dans la caisse noire du palais rose.

Les espions, traîtres et autres pseudo Opposants réussiraient-ils à anesthésier ceux qu’ils qualifient d’«Opposants intégristes» de renoncer à leur légitime lutte contre la tyrannie criminelle du dictateur et Général-Président Déby? 

 

 

Le site internet Tchadactuel, généralement très bien informé en matière des tractations au sein du palais rose, dans son édition du 11 février  2008 et sous le titre de « Les Brèves de N’djaména : Pour qui roule l’ancien PM, Fidel Abdelkerim Moungar ? » écrit : « Ces derniers temps,l’ex PM est à tu et à toi avec Deby et son entourage. La mise en place des cellules de l’Actus, le parti de Moungar à N’djamena et ailleurs a été pratiquement menée sous le patronage ou financée par le MPS. L’ex Pm lui-même téléphone quotidiennement à Deby. Ainsi donc, dire que le PM est parti à Khartoum apporter son soutien à l’UFR ne correspond pas à la réalité des choses. »

La Conférence de presse de Paris organisée par Fidel Moungar aurait  été concue en commun accord avec son patron Déby. D’autres sources ajouteraient à la liste de cette offensive de marketing pro-Déby et de débauchage la future conférence de la diaspora tchadienne à Paris.

 

Le récent voyage en première classe à Khartoum  effectué par la délégation gouvernementale dirigée par le Dr Fidèle Moungar,accompagné de Madame Félicité Doubangar est une preuve supplémentaire de ses accointances avec le tyran Déby. Selon des sources dignes de foi, l’émissaire de Déby qui aurait prévu de rester plusieurs jours fut obligé d’écourter son séjour.L’accueil  fut glacial tant au niveau de l’UFR que des autorités soudanaises qui le considéraient tous comme un dangereux espion du dictateur et de la France. Pour l’UFR, certains auraient été plus virulents l’un d’eux aurait dit : «  Dr Fidel Moungar  n’a aucune représentativité  alors à quel titre prétend t-il faire la médiation entre Déby et l’UFR ? S’il veut faire du tourisme, alors il n’a qu’à le faire. S’il vient au nom de Déby pour casser l’élan d’unité de nos Forces, alors nous savons comment reconduire immédiatement tous les traîtres ».  Cette phrase quelque peu menaçante et voilée aurait fait trembler comme une feuille morte  le solide gaillard et malheureux émissaire de Déby,Fidel Moungar.Ce dernier aurait pris peur, écourta son séjour  et  prit la poudre d’escampette pour Paris.

 

Toujours à propos de ce voyage, le site Tchandanthropus  enfonça le clou en écrivant « Il s'insère bien plutôt dans la stratégie pour sauver les meubles au soldat Itno. La manoeuvre est si rondement orchestrée qu'elle ne serait pas une démarche exclusive de FMA. Suivez mon regard! Car, outre IDI, il faut voir en sous-main l'Elysée et le Quai d'Orsay qui ne font pas mystère de leur soutien à IDI malgré les casseroles qu'il traîne ».

Le site Tchadoscopie conclu par ces interrogations : « Au regard de cette situation, on s'interroge certes sur les motifs de cette rencontre entre Fidel Moungar, qui est un chef de parti politique démocratique, et Timane Erdimi qui est un chef rebelle. Mais tout d'abord, en quelle qualité Fidel Moungar a rencontré Timane Erdimi ? L'ancien Premier ministre est-il le nouvel émissaire du tyran comme l'affirme Tchadespoir ? »

 

La mission de Fidel Moungar Khartoum fut un cuisant échec car la vigilance de l’UFR est à son point culminant en préparation  à la prochaine fulgurante et dernière offensive victorieuse contre le dictateur Déby. Dans le palais rose, le Président aurait exprimé à certains conseillers sa déception relative à la nullité de Fidel Moungar et son incapacité à réussir la mission qui lui a été confiée et ce malgré les moyens matériels et financiers conséquents qui lui auraient  été accordés suivant ses exigences.

 

L’autre concurrent mis en orbite par le dictateur Déby au poste du futur premier ministre  est  l’Ex Ministre des Affaires Etrangères, Mr.Mahamat Saleh Annadif, actuel représentant de l’Union Africaine » auprès de l’Union Européenne à Bruxelles. Fidèle  allié de Déby depuis plus d’une décennie, Mr. Annadif a toujours réussi à accomplir avec succès toutes les missions qui lui sont confiées ou défendre son président en toutes circonstance. C’est lui qui avait résolu l’épineux dossier des milliers de Tchadiens chassés de Libye dans les années 90 et qui a failli déclencher des vives tensions entre Kadhafi et Déby. Il est de notoriété publique que le régime du dictateur Déby doit en partie sa survie grâce au soutien du Guide. Les rapatriés en voulaient foncièrement à Mr.Annadif  pour avoir minimisé  et minoré le nombre de victimes tchadiennes de ce pogrom en Libye.

Sa fidélité au tyran a été pour lui une assurance tous risques  face aux poursuites judiciaires, malgré ses malversations financières dans la Société de Télécommunication (SOTEL) qui s’élèveraient à plusieurs milliards de FCFA. Les mêmes détournements auraient été effectués avec les colossaux « fonds Taïwan » mis à la disposition du Tchad pour sa reconnaissance de l’île rebelle mais partie intégrante de la République populaire de Chine.

Enfin le nom de Mr l’Ambassadeur aurait été cité par certains comme étant  l’un des principaux exécutants du plan diabolique de la création par le dictateur Déby des Djandjawides arabes tchadiens afin d’incriminer le régime soudanais de crimes perpétrés contre les populations civiles par les Djandjawides soudanais.

 

Selon des sources  emanant de Bruxelles, le diplomate tchadien élaborerait un lobby européen apte à défendre la cause du Général Président  dans l’UE.Cette mission serait menée en collaboration avec les diplomates français dont le pays  reste le principal soutien  au tyran.

« Mr Annadif est le meilleur pour le Président Déby. Nous avons besoin de lui pendant cette période cruciale face aux petites agitations de l’UFR d’une part et d’autre part profité de la présidence de l’Union Africaine par le Guide Kadhafi »  déclare un proche collaborateur du Général Président Déby. Le diplomate tchadien serait selon les autorités des deux pays, apprécié par le Guide libyen par conséquent il serait le meilleur avocat  de Déby auprès du Guide.

Selon cette même source, Deby aurait demandé au Guide de peser de tout son poids pendant sa présidence pour obtenir un accord de paix avec l’UFR sous forme de gouvernement d’Union nationale  à l’instar de celui conclu avec le FUC de Mahamat Nour.  Cette stratégie du dictateur Déby n’aurait-elle pas pour but de créer la scission au sein de l’UFR ?

Cette solution déjà éprouvée par le cas du Capitaine Nour serait contestée par certains Membres de l’Opposition qui continuent de réclamer  la tenue d’une Conférence inclusive de paix, la seule alternative valable. 

Autour du Président, certains se moquent ouvertement de la naïveté de Fidel Moungar : « Cet Homme est naïf. Le Président ne le nommera plus jamais Ministre et moins encore Premier ministre.Le Président a besoin de lui pour montrer entre autre à l’opinion occidentale qu’il est ouvert à toute l’opposition et qu’il est disponible à collaborer avec lui »…Le cas Moungar, un piège de Déby qui tente de montrer  et de présenter un collabo comme opposant afin de piéger la véritable Opposition, est une imposture que  cette dernière saurait éviter.

 

Le coup d’envoi du marathon pour le poste du futur  Premier ministre  est donné par le dictateur Déby.

L’ancien premier ministre Fidel Moungar est disqualifié dès le départ pour tricherie et dopage,tandis que le vainqueur déclaré est l’ancien Ministre des Affaires Etrangères, Mr.Mahamat Saleh Annadif pour services rendus.

 

Ce pronostic se concrétiserait-il face à la montée en puissance de l’UFR qui brûle d’envi d’anéantir le tyran Déby ?

 

Correspondance spéciale de Tchad Espoir dans les territoires libérés et à N’Djaména.

 

Web: http://www.tchadespoir.net    E-Mail:  contact@tchadespoir.net

 

Partager cet article
Repost0
12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 19:55
Partager cet article
Repost0
10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 15:12



L’Union des Forces de la Résistance (UFR)
porte à la connaissance du Peuple Tchadien et l’opinion internationale que :

·        Très tôt, ce matin du Lundi 09 Février 2009, une colonne de 75

Véhicules armés – dont 55 d’escadron équipés essentiellement de canons de  106 mm, de DC 14,5 mm, de 17 mm, de 0,9 mm et de batteries de missiles Sol-sol – est entrée dans la ville d’Abéché en provenance de N’Djaména.

·        Ces véhicules, bariolés par des sigles de l’UFDD  transportent, selon nos sources, plusieurs centaines d’individus vêtus de treillis militaires.

        L’Union des Forces de la Résistance tient à affirmer que ces véhicules armés ne font pas partie des effectifs de l’UFDD (un des mouvements fondateurs de l’UFR), et ne sont rien d’autres qu’un machiavélique simulacre conçu et exécuté par le régime dictatorial de N’Djamena dans le but manifeste et avoué de discréditer l’UFDD, et par ricochet l’Union des Forces de la Résistance.

        L’Union des Forces de la Résistance prend donc d’ores et déjà le peuple Tchadien et l’Opinion Internationale à témoin pour les mettre en garde contre la mascarade que Deby aurait l’intention de jouer à Abéché :

        - En effet, ce déploiement – dont le régime honni de N’djamena voudrait donner la paternité à l’opposition armée – a été conçu et mis en marche pour créer la confusion dans l’esprit des Tchadiens, des forces de l’EUFOR, ainsi que des différentes ONG afin que les uns et les autres se persuadent que les forces de l’UFR seraient en train de se déployer dans cette région.

        En réalité, cette manœuvre aurait – selon des sources très proches du pouvoir de Déby – pour objectif de jeter le discrédit sur l’UFR à travers trois manœuvres éventuelles aussi viles que diaboliques :

        1- Attaquer les camps des réfugiés du Darfour pour en faire porter le   chapeau à l’UFDD, autrement dit à l’UFR.

        2- Attaquer les bases – arrières de l’opposition armée.

        3-  Simuler – comme cela s’est déjà vu –un simulacre de pseudo ralliement de prétendus ‘’Combattants ‘’ de l’UFDD  dont  sera faite une hyper médiatisation  destinée à fragiliser l’opposition armée tant aux yeux des Tchadiens que de l’opinion internationale.

        L’UFR demande aux Tchadiens et à la Communauté Internationale d’être particulièrement vigilants face à cette scabreuse manœuvre qui n’a aucun rapport avec sa stratégie globale.

        L’UFR est plus que jamais déterminée à faire chuter le régime dictatorial de N’djamena.

 

 

 

 

Fait à Hadjer Marfaïne le 09 février 2009

 

 

Pour le Bureau Exécutif (BE) de l’UFR,

Le Délégué à la communication, Porte-parole Adjoint,

 Ali Ordjo Hemchi

Delegationcomufr@yahoo.fr

Partager cet article
Repost0
7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 00:34
La Pologne supprime ses missions au Tchad, au Liban et sur le plateau du Golan, "en raison de coupes budgétaires" dues à la crise mondiale, a annoncé aujourd'hui le ministre polonais de la défense Bogdan Klich.

"Ces trois missions sont supprimées, notamment en raison de coupes budgétaires, mais aussi du fait que les missions sous l'égide des Nations unies (ONU) ne font pas partie des priorités de la Pologne", a déclaré M. Klich à la chaîne d'informations en continu Tvn 24.

"Les missions de l'OTAN et de l'UE (Union européenne) sont la priorité de la Pologne", a-t-il ajouté, la plus importante actuellement étant celle en Afghanistan, où Varsovie a déployé 1.600 soldats.

En raison de la crise économique mondiale, le gouvernement polonais a adopté mardi une réduction des dépenses budgétaires en 2009 de 4,27 milliards d'euros.



source : le figaro
Partager cet article
Repost0
7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 00:28

 

 « Tentation », « Suspicion », « harmonie apparente », « Messie », etc... Que cherche t-il ? Prend t-il les tchadiens pour des imbéciles ?

On est tous née dans la guerre, on sait que le Tchad est un pays compliqué.

 SVP, Arrêter !!

La guerre nous a pris notre liberté de vivre en paix, en sécurité et VOUS, vous tentez de nous prendre nos espoirs, ce 1% de chance de changement.

Vos articles sur Mr. Mahamat NOURI,  que j’avoue ne pas avoir lu,  son selon les dire de nos compatriotes « républicain, démocrate, et laïc », alors Mr. Joe ne devenez pas Robespierre, qui perdit sa tête pour les même raison qu’il prit la tête des nobles, au nom de la république.

Mr. Guihini KOREY, Mr. Guinni KOREY, après Mr Mahamad NOURRI, vous voila sur Mr. Guihini KOREY, a croire que vous tentez d’indexer une communauté. Le Tchad n’as jamais connu la paix, donc je vous laisse imaginez le nombre de criminel qu’il y a au Tchad. Mr. Mahamad NOURRI et Mr. Guihini KOREY vous ont déjà donnez ce que vous vouliez, ils ne sont plus ou pas dans le bureau A l’heur actuel, et si vous voulez les jugés, il va VOUS falloir  jugé beaucoup de Tchadiens avant d’arriver a eux.

La nomination de Mr. Timan ERDIMI, n’est pas un appel a la révolte ou a la désertion des zakawa, mais un appel a la paix, a la fraternité, sans distinction ethnique, et sans peur de son voisin, cela nous montre également que cette rébellion n’as pas pour but la chasse au zakawa mais une main tendu par le Tchad et les tchadiens.

Les « kirdi », VOUS vous moquer de nous, je VOUS rappel Monsieur que nous sommes dans une république. Nommé des hommes a des poste pour VOUS faire plaisir ou pour leur religion, je ne sais pas le quel des deux et le plus républicain. Les chrétiens ou comme vous  le sous entendez les sudistes non pas besoin de VOUS, pour avoir des postes. Ils sont entrain d’essaie de sauver le Tchad de la mort avec les armes ou les stylos et ce genre de considération ils peuvent sans passer.

OUI La guerre est un problème donné nous une solution pour qu’elle soit la dernière dans l’histoire du pays de toumai.

Que ce pamphlet, Monsieur l’agitateur de la république, VOUS éclaire et VOUS aide pour le Tchad  de  demain. Ce mon cadeau pour cette aire de changement

Gratuitement!!!

 

KOMA

         ali.koma@yahoo.fr
Partager cet article
Repost0
3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 23:04
 Libertés étouffées, insécurité, crise sociale et économique: des membres de la société civile tchadienne ont dressé un bilan désastreux du Tchad, un an après l'offensive rebelle qui avait fait vaciller le régime d'Idriss Deby, et ont déploré le "silence assourdissant" de la France.

Les trois membres de la délégation tchadienne, en visite à Paris puis à Bruxelles, espèrent attirer l'attention des autorités françaises et européennes sur une situation qui selon eux n'a cessé de se dégrader depuis l'attaque rebelle sur N'Djamena, les 2 et 3 février 2008.

"La démocratie tchadienne est en faillite", a résumé Tenabaye Massalbaye, président de la Ligue tchadienne des droits de l'Homme (LTDH), lors d'une conférence de presse mardi à Paris.

"Il y a une présence massive de militaires dans les rues, aucune manifestation n'est acceptée, la presse est mise au pas, il y a des rumeurs persistantes de disparitions et d'assassinats, notamment dans l'est" du pays, a-t-il énuméré.

Le climat s'est encore alourdi avec la récente annonce de l'unification de tous les mouvements rebelles tchadiens et leur menace de renverser Deby.

Pour M. Massalbaye, aucune leçon n'a été tirée depuis un an, et le pouvoir n'a jamais donné aucune réponse aux questions soulevées par une commission d'enquête tchadienne mise en place après l'offensive rebelle des 2 et 3 février 2008.

Le pouvoir du président Deby avait alors vacillé avant de reprendre la main, avec le soutien de la France, et au terme de combats ayant fait des centaines de morts.

Aucune enquête n'a jamais été engagée sur la disparition de l'opposant Ibni Oumar Mohamat Saleh, enlevé par des militaires tchadiens lors de l'offensive et présumé mort depuis, a rappelé M. Massalbaye.

"Nous n'avons pas plus d'informations sur les lieux secrets de détention mis en place par le régime et le sort de quelque 400 prisonniers de guerre", évoqués dans le rapport de la commission d'enquête, a-t-il ajouté.

Enfin, le gouvernement n'a jamais aboli une ordonnance prise après l'attaque et imposant des restrictions drastiques à la presse dans le cadre de l'état d'urgence.

L'avocate Delphine Djiraibé, membre de la délégation, a regretté "le silence assourdissant" de la France, qui avait à l'époque fait pression pour la mise en place d'une commission d'enquête.

"Paris continue à collaborer avec Deby comme si de rien n'était", a-t-elle déploré.

De manière générale, "la politique de la France au Tchad est difficilement lisible", a estimé Mme Djiraibé, en indiquant "avoir le sentiment de prêcher dans le désert".

L'avocate a de nouveau appelé Paris à soutenir un dialogue politique large au Tchad, incluant l'opposition mais aussi les rebelles. "On est dans une impasse, il faut parler avec eux. Une victoire militaire au Tchad n'est jamais définitive et les rébellions renaissent toujours de leurs cendres", a-t-elle rappelé.

Président de l'Union des Syndicats du Tchad (UST), Michel Barka a pour sa part évoqué "le calvaire" des Tchadiens et leurs "espoirs déçus" face à la rente pétrolière, dans un pays qui produit 170.000 barils/jour et reçoit environ 750 millions d'euros de recettes de l'or noir par an.

"Le gouvernement ne s'en cache pas lui-même: il achète des armes avec l'argent du pétrole", a déclaré M. Barka. Dans le même temps, 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, et le prix du sac de riz a quasiment doublé récemment.

source: AFP 

Partager cet article
Repost0
3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 13:34


Après l'éphorie qui a caractérisé la création de l'UFR, l'heure devrait désormais être à la sérénité dans tous les camps. Même si dans certains le cœur n'y est pas totalement, nous pouvons dire que la volonté d'essayer avec l'UFR y est et sûrement on cogite déjà sur la suite des évènements.

Certains s'activent avec beaucoup plus d'enthousiasme que d'autres. Toutefois, quel que soit le groupe où on se trouve, le constat de la lassitude est bien visible sur le visage des hommes et tout le monde s'accorde sur une chose au moins : le désire de rentrer au bercail.


Seulement voilà, les réalités sont celles que tout le monde connait si bien. Inutile d'écrire des paragraphes pour raconter autre chose ou tout simplement tourner autour du pot et ne rien dire en fin de compte.


Le consensus proclamé dans la désignation de Monsieur Timane Erdimi à la tête de l'UFR, n'est en réalité qu'une décision des parrains Soudanais. Ces derniers, constatant les lenteurs dans la mise en place d'une véritable coalition regroupant tous les mouvements rebelles, ont tout simplement tranché en mettant fin à 5 mois de conciliabules. Ce n'est pas la première fois qu'une telle décision arbitraire est prise. D'ailleurs, ne perdons pas de vue que nous sommes dans un contexte de rébellion armée où celui qui paie commande.

Cependant, le choix opéré sur la personne de Monsieur Timane Erdimi, a surpris plus d'un à Khartoum, au Tchad et ailleurs. Les observateurs avertis ont vu venir cette bourde. L'article sur Timane Erdimi paru dans l'hebdomadaire Jeune Afrique, journal reputé très proche des services de renseignements français, ne pourrait passer inaperçu. Tout de même, disons que c'est un calcul politique un peu trop simpliste mais qui prend en considération des vues franco-libyennes qui ne servent pas forcement l'opposition armée au régime Deby. Et cela les autorités soudanaises ne peuvent pas l'ignorer.


En effet, la stratégie retenue présente un risque certain. Imposer un homme au poids militaire négligeable est tout ce qu'il ne fallait pas faire pour espérer une véritable union des forces opposées au régime Deby. Les récentes attaques du MJE contre les forces gouvernementales soudanaises sont-elles pour quelque chose dans cette décision immature ?

Rappelez-vous en juin dernier, après l'attaque d'Amdourman par le même MJE, l'alliance nationale (AN), l'UFCD et l'UFDD/F ont été lancées contre les forces de Deby. Les hommes de Timane Erdimi n'avaient pas bougé. Ceux du Colonel Adouma Hassaballah et d'Abdelwahid Aboud Makaye se sont vite repliés sans crier gare. Adouma Hassaballah a confessé plus tard qu'il avait eu des contacts avec Deby au même moment. Cette trahison a accentué les divergences entre les deux entités de la rébellion de l'Est : d'une part l'A.N. et d'autre part l'UFCD-RFC-UFDD/F.

Aujourd'hui, on constate une prédominance de la seconde entité (RFC-UFCD-UFDD/F) sur l'AN. Ce qui veut dire que cette entité doit être maintenant la locomotive de l'UFR. Rôle qu'elle a rarement joué. L'AN acceptera t-elle de jouer le jeu ou sera t-elle tentée à son tour de rendre la monnaie ? Il est trop tôt pour se prononcer de manière catégorique car les choses peuvent encore évoluer. Tout est possible, y compris de très grande surprise.

On annonce aussi que les forces ne seront pas unies mais plutôt intégrées graduellement. Cela veut dire que l'état major militaire de l'UFR sera semblable à celui de la CMU où les leaders tiraient les ficelles derrière le rideau. Tout cela ne concourt pas à une offensive militaire prochaine et on se demande même si les forces de l'A.N. prendront effectivement part aux prochaines offensives militaires.
 

Néanmoins, la carte Timane Erdimi est déjà à l'œuvre et elle est jouée avec beaucoup d'intelligence voire d'hypocrisie. Les rôles se sont subitement inversés car ceux qui bloquaient hier l'union, sont aujourd'hui les chantres de cette même union. Même si les marges de manœuvre restent précaires, la carte Timane doit apporter les résultats escomptés dans le délai fixé.  En somme, on attend de Timane Erdimi principalement deux choses :

 

 

1- Créer une onde de choc au sein du clan Zaghawa-Bideyat qui constitue l'ossature du pouvoir Deby. Pour ce faire, des promesses devraient être faites à l'endroit du clan et qui porteraient essentiellement sur la possibilité d'une continuité du pouvoir Zaghawa, sur la sécurité des membres du clan et aussi sur la sauvegarde de leurs biens acquis sous Deby. En contrepartie, on s'attendrait à des défections immédiates ou progressives sinon à une démobilisation importante voire un ralliement massif au moment fatidique ou encore à des actes de sabotage, de renseignements capitaux.

2- Rassembler le maximum des mouvements rebelles autour de sa personne et rééditer le coup de février dernier.

On se demande bien quel moyen dispose Timane Erdimi pour marchander avec les hommes de Deby ? Tout ce que Timane promet, Deby a déjà offert. Demain n'est pas sûr. Et puis, Timane Erdimi pourra t-il cracher sur le soutien des ex-Debystes une fois installé à N'djaména ? Non, il aura toujours besoin de ses frères pour consolider sa base qui reste encore petite en comparaison à celle de Nouri ou Adouma.


Quant au rassemblement des forces autour de la personne de Timane, il ne faut pas se leurrer non plus. Timane Erdimi a été de tout temps le chef d'orchestre du bloc anti-Nouri, chef de l'AN. On voit mal comment l'AN se rangerait derrière lui aujourd'hui et encore moins demain une fois sorti du diktat soudanais. Déjà le FSR aurait donné le ton en refusant catégoriquement sa participation à l'UFR.

Tout cela est bien dommage car on aurait évidemment souhaité que le consensus si fortement martelé soit réel et cela devrait nous éviter tant de problèmes aujourd'hui et demain. Les hommes ne se sont pas rebellés pour installer un individu au pouvoir mais plutôt pour faire partir un autre du pouvoir et permettre l'émergence d'une vie normale voire meilleure pour tous les Tchadiens sans aucune considération de tout ordre.

Croisons les mains et prions pour que la fibre patriotique permette à ces valeureux et courageux hommes de terminer le travail, ô combien noble, qu'ils ont entrepris voilà plusieurs années déjà.


source: Ambenatna
Partager cet article
Repost0
3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 13:15

En ce début de février 2009, anniversaire du soutien renouvelé de la France au régime dictatorial d’Idriss Déby en février 2008, il est grand temps que la France prenne les responsabilités qui sont les siennes pour une sortie de crise, qu’elle cesse de verrouiller la situation tchadienne par le statu quo et œuvre enfin au soutien d’un processus démocratique qui aujourd’hui est dans l’impasse.

Il y a un an, la France permettait au président tchadien de se maintenir au pouvoir en lui apportant le soutien diplomatique et militaire nécessaire lors d’une attaque menée contre N’Djaména par des rebelles. Faut-il rappeler les conditions d’accès au pouvoir d’Idriss Déby ? Auteur d’un coup d’Etat contre le président Hissène Habré en 1990, c’est avec la bénédiction de la France qu’Idriss Déby, ancien élève de l’Ecole militaire de Paris, a pris les rênes du pays, devenant président « élu » et « réélu » en 1996, 2001 et 2005, à la suite de fraudes électorales, le financement de candidatures fictives (faisant l’illusion de la concurrence électorale) et autre manipulation de la Constitution. La France, en apportant un soutien politique et militaire inconditionnel au régime illégitime, dictatorial et contesté d’Idriss Déby, a choisi le camp de la dictature en armant celle-ci contre l’opposition démocratique et la population en général qui vit dans la peur quotidienne d’une nouvelle attaque.

Faisant la sourde oreille à la demande d’un dialogue national inclusif, entre tous les acteurs de la vie politique tchadienne (opposition non armée et armée), dialogue réclamé par les opposants politiques et la société civile réunie au sein du « Comité d’Appel à la Paix et à la Réconciliation », et à la demande de mise en place d’un processus de paix soutenu par la communauté internationale, la France ruine les espoirs d’une sortie de crise. Comment le comprendre autrement lorsque l’on sait qu’en février 2008, la France a fourni au régime des renseignements sur les mouvements des rebelles et sur leurs communications, a permis l’acheminement d’armes et de munitions, ou encore s’est engagée militairement dans les combats ?

En apportant son soutien à Idriss Déby, la France a permis à celui-ci d’entamer une chasse aux opposants et aux dirigeants des organisations de la société civile, lançant également des actes d’intimidation contre des journalistes indépendants et des défenseurs des droits de l’Homme. Dans la confusion des évènements du début février 2008, des opposants politiques ont en effet été enlevés, séquestrés et pour l’un d’entre eux, Ibni Oumar Mahamat Saleh (porte-parole de la Coordination des partis pour la défense de la démocratie-CPDC), probablement assassiné puisqu’il est toujours porté disparu. Un an après cette disparition, l’opposition politique et la société civile désespèrent d’être entendues dans leur volonté de construction d’un processus démocratique véritable et d’un retour à l’Etat de Droit. C’est pourquoi Survie réitère sa double volonté : celle de voir les parlementaires français se saisir du dossier en créant une Commission d’enquête pour établir la vérité sur l’implication de la France dans le conflit tchadien, et celle de voir l’Union européenne se mobiliser pour mettre un terme à l’ingérence française.

Archétype de la Françafrique, la relation entre la France et le Tchad est pleine de faux semblants, comme le simulacre de recherche de vérité sur les évènements dont nous célébrons aujourd’hui le triste anniversaire. La « Commission d’enquête sur les événements survenus en République du Tchad du 28 janvier au 8 février 2008 et leurs conséquences », créée à la demande du président français Nicolas Sarkozy pour apaiser les esprits (mais présidée par un proche de Déby) a rendu un rapport inabouti. Reconnaissant l’implication de l’Armée nationale tchadienne dans les disparitions et les violations de droits de l’Homme, ce rapport ne reconnaît pas celle de son chef, Idriss Déby, ce qui est inconcevable. La Françafrique poursuit ses abominables aventures.


source: www.hns-info.net
Partager cet article
Repost0