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26 décembre 2008 5 26 /12 /décembre /2008 13:31
En 1980, un an avant son décès, le lion de RASTA le célèbre Bob Marley avait écrit Zimbabwe pour saluer la venue du nouveau-né des états africain. Le grand " libérateur " Robert Mugabe est aujourd'hui une peste politique a' la tète d'un pays plongé dans une épidémie de cholera sans fin. Cette maladie diarrhéique est très contagieuse. Elle risque d'emporter politiquement le vieux baobab de 84 ans au pouvoir depuis bientôt 30 ans. " Presque 10 000 de ces sujets sont infectés par le cholera ". Sa garde rapproché commence a' le déserter (selon un journal montréalais). Le Botswana voisin veut le priver d'essence.

Au bord de l'apoplexie économique, le Zimbabwe, un pays enclavé, ne tiendrait pas plus d'un trimestre sans carburant. Rappelons aussi que l'ancien grenier de BLE de l'Afrique dépend aujourd'hui de l'aide alimentaire mondiale pour sa survie de tous les jours. L'UE et USA se disent prêts a' accroitre leurs sanctions pour déloger le vieux Mugabé. Pourquoi alors? Ce n'est pas a' cause du cholera a' ce qu'on sache. Les raisons sont ailleurs. Depuis 1980 le grand héros africain fait tête et a' l'Angleterre et aux USA. Il y'a quelques année le vieux baobab de l'Afrique a arraché les champs de BLE de leurs propriétaires blancs pour remettre aux noirs. Selon le vieux octogénaire les champs appartiennent aux noirs depuis des générations. Les occidentaux ne veulent jamais pardonner Mugabé pour ce geste strictement raciste. Donc le fléau majeur pour son pays aux prises avec la pire épidémie de son histoire, c'est l'occasion pour faire tomber le vieux baobab qui a des racines très longues et qui s’accroche a’ son trône présidentielle.

Une fois tombé, ne nous étonnons pas de voir Mugabé poursuivi des crimes contre l'humanité par des droits de l'hommistes (du genre Reed Broody et autres farfelus qui s'autoproclament de Human Right mais on voit qu'ils s'acharnent souvent uniquement sur les pauvres et particulièrement africains noirs). Déjà l'Afrique du Sud, son plus fidele allié, est en train de le lâcher. Le héros de la lutte anti-apartheid, Comrade Bob refuse même d'appliquer l'accord de partage du pouvoir qu'il a signé en septembre pour calmer l'occident.

Dans notre monde il n'ya pas une justice équitable pour tout le monde. Les africains et les pauvres du tiers monde font face a' des crimes par contre les puissants sont rarement poursuivis par les mêmes nombreux droits de l'hommistes. A titre d'exemple, personne n'a daigné poursuivre le tout puissant George W. Bush, Ariel Sharon, Jacque Chirac, le roi de Belgique (qui a tué et pillé la richesse de Zaire) etc... Quand il s'agit de pauvres noirs, les droits de l'hommistes sont non seulement nombreux mais omniprésents pour rendre JUSTICE a' géométrie variable. Il est temps pour nous les africains de nous réveiller de notre profond sommeil. Nos arrières arrières grands parents ont vécu la traite negriere.  L'esclavage a été commencé d'abord par les arabes au 5ieme ou 6ieme siècle. Repris par les occidentaux au 8ieme, 9ieme siècle. Des siècles d'esclavages. Ensuite nos grands pères ont connus les colonisations et aujourd'hui nous sommes en train de vivre les neo-colonisations (contrôle sur l'économie africaine). S'il y'a une vraie justice au Monde, s'il y'a le vrai droit de l'homme, pourquoi ces farfelus droits de l'hommistes ne réclament pas aux noms des pauvres persécutés, discriminés, humiliés autrement dit les eternels victimes un dédommagement en bonne et du forme de la part de leurs bourreaux de l'époque (les arabes et les occidentaux). L'Italie a payé des milliards pour avoir colonisé la LIBYE. Le Canada a reconnu le droit des " premières nations " ou les indigènes qui se trouvent dans ce pays avant l'arrivé des européens. Actuellement les premières nations ne payent pas de taxes au Canada. C'est en sort un dédommagement. Alors Pourquoi les bourreaux qui ont profité de l'Esclavage pendant longtemps ne payent rien en retour. Deux poids, deux mesures. Comprenez moi, je ne suis pas contre la justice. Mais il faut une justice pour tout le monde. Non a' cette justice a' géométrie variable. Trop c'est Trop.

Charles Taylor (jugé et condamné), HH ( pourchassé par les droits de l'hommistes), Oumar Albechir ( condamné par la CPI malgré son immunité)..., et dans un futur proche Mugabé, Bongo, Deni, Bozizé, Deby, Biya, Compaoré et tant d'autres seront pourchassés par les mêmes droits de l'hommistes. Je ne dis pas que ces présidents n'ont rien fait du mal. Mais pourquoi cherche t'on a' juger uniquement les pauvres africains ou les tiers-mondistes? Ceci nous rappelle les propos d'un grand savant qui disait: " les lois sont comme des toiles d'araignée a' travers les quelles passent les grosses mouches ou restent les petites " Fin de citation.

Votre ami et frère
Mahadjir.fils
Amérique du Nord.


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26 décembre 2008 5 26 /12 /décembre /2008 13:27
Le président palestinien  Mahmoud Abbas a réitéré jeudi qu'il s'oppose à recourir à la force pour résoudre la divergence interpalestinienne. 

     "Nous ne voulons pas plus de conflit interne et nous refusons  de recourir aux armes pour la résolution de nos problèmes  intérieurs", a confié M. Abbas aux leaders communautaires de la  ville d'Hebron, en Cisjordanie. 

     M. Abbas, qui a assisté à la messe de minuit dans la ville  sainte de Bethléem, a affirmé que "je vous promets que je  n'accepterai pas certainement d'entrer dans une guerre civile. Je  crois encore que notre peuple armé de la démocratie est notre juge ".    La semaine dernière, M. Abbas a réclamé qu'il appelerait peu  après les élections présidentielles et législatives anticipées  afin de mettre un terme à l'actuelle dispute entre Gaza et  Cisjordanie, si le Hamas ne retourne pas à la table de  négociations d'ici la fin de l'année.  

     En janvier 2006, le Hamas a remporté les élections législatives et a formé le gouvernement, tandis qu'Israël et la communauté  internationale ont imposé des sanctions contre le Hamas depuis que ce mouvement islamique refuse de reconnaître l'Etat hébreu.

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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 21:41

Les autorités tchadiennes doivent répondre des violations des droits humains associées à l’attaque lancée contre N’Djamena en février 2008

Amnesty International constate avec préoccupation que, plus de dix mois après les homicides illégaux et les autres atteintes aux droits humains survenues pendant et après l’attaque lancée contre N’Djamena en février 2008, les autorités tchadiennes n’ont pas traduit en justice les responsables présumés de ces actes.

Dans un rapport publié aujourd’hui, Amnesty International attire l’attention sur les graves violations des droits humains commises par les groupes armés et par l’armée gouvernementale tchadienne avant, pendant et après l’assaut contre N’Djamena. Ces violations des droits humains comportaient des homicides illégaux et des exécutions sommaires, des « disparitions » forcées, des pratiques de harcèlement à l’égard de défenseurs des droits humains et de journalistes, des arrestations arbitraires et maintiens illégaux en détention, des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements, ainsi que des expulsions forcées.

Enfreignant les obligations qui leur incombent en vertu du droit international, les groupes armés d’opposition qui ont attaqué N’Djamena en février ont délibérément mis en danger la population civile en lançant leurs attaques à partir de zones habitées par des civils. Les forces gouvernementales, quant à elles, n’ont visiblement pas pris de mesures suffisantes pour éviter que les civils ne soient pris entre deux feux lorsqu’elles ont affronté les groupes armés d’opposition.

Amnesty International invite le gouvernement tchadien à engager des poursuites pénales contre ceux qui ont commis des violations des droits humains, et notamment les membres de leurs forces de sécurité.

De surcroît, le gouvernement tchadien doit appliquer intégralement les recommandations formulées par la commission qu’il a mise sur pied en avril pour enquêter sur les événements en rapport avec l’attaque de février contre N’Djamena.

Depuis 2006, au Tchad, de très nombreuses personnes arrêtées par les forces de sécurité ont été victimes de disparition forcée. Le 3 février 2008, Ibni Oumar Mahamat Saleh, dirigeant d’une coalition de groupes politiques d’opposition, a été arrêté à son domicile de N’Djamena par des membres des forces de sécurité tchadiennes. Personne ne l’a revu depuis. En avril 2006, après l’assaut de N’Djamena par des groupes armés, au moins 13 militaires de haut rang avaient été arrêtés. Depuis lors, on n’a aucune nouvelle d’eux. Le 30 novembre 2007, huit personnes avaient été arrêtées dans la ville de Guéréda, dans l’est du pays. On ne sait toujours pas ce qu’elles sont devenues.

Amnesty International déplore la politique manifestement pratiquée par les forces de sécurité tchadiennes, qui consiste à soumettre à des disparitions forcées les opposants politiques présumés ou réels. Cette pratique constitue une violation du droit des victimes à la vie et à la protection de la loi, et c’est aussi une violation des obligations du Tchad en vertu du droit international.

Le gouvernement tchadien doit révéler dans les plus brefs délais l’endroit où ces hommes se trouvent. S’ils sont encore détenus, les autorités doivent les autoriser à rencontrer leurs avocats, leurs médecins et leurs proches. De surcroît, sauf si les autorités inculpent les détenus d’infractions pénales prévues par la loi, ils doivent être libérés immédiatement.

Amnesty International invite également les autorités tchadiennes à accorder une indemnisation aux dizaines de milliers de personnes qui ont été expulsées par la force de certaines zones de N’Djamena à la suite de l’attaque de février. Par ailleurs, le gouvernement doit mettre en place une loi et un dispositif destinés à empêcher la poursuite des expulsions forcées.

Des défenseurs des droits humains ont subi une campagne d’attaques et de harcèlement de la part d’agents de sécurité gouvernementaux, avant et après l’attaque de février contre N’Djamena.

Amnesty International exhorte le gouvernement tchadien à reconnaître publiquement l’importance de l’action menée au Tchad par les défenseurs des droits humains. De plus, des dispositions législatives et pratiques doivent être prises pour faire en sorte que les défenseurs des droits humains, y compris les journalistes, ne fassent pas l’objet d’actes de harcèlement, de menaces, d’attaques, d’arrestations arbitraires et de détentions illégales. Les autorités tchadiennes doivent respecter et garantir la liberté d’expression et d’association des défenseurs des droits humains ainsi que leur droit de se réunir pacifiquement.

Amnesty International invite le gouvernement tchadien à abroger les dispositions de l’ordonnance n° 5 qui violent la liberté d’expression et limitent indûment la capacité des médias imprimés ou électroniques à fonctionner librement au Tchad. Certaines des dispositions de l’ordonnance n° 5 violent la Constitution tchadienne, ainsi que les traités internationaux relatifs aux droits humains auxquels le Tchad est partie.

Amnesty International se félicite de la décision prise en décembre 2008 par les autorités judiciaires françaises d’enquêter sur des allégations de ventes illégales d’armes au Tchad par une société basée en France. Cependant, l’organisation demeure préoccupée à l’idée que l’assistance et la coopération militaires françaises avec le gouvernement tchadien ont pu contribuer à des violations des droits humains au cours des combats de février 2008, à N’Djamena. L’organisation demande à la France de réexaminer son assistance militaire au Tchad afin de mettre en place les mesures nécessaires pour que la coopération militaire française dans ses différents aspects (armes, personnel et formation) ne puisse pas faciliter des violations des droits humains mais, bien au contraire, les empêche. Amnesty International invite également les autres gouvernements et les entreprises actives sur leur territoire à ne pas transférer d’armes ou d’autres matériels ou compétences militaires qui puissent être utilisés au Tchad, par le gouvernement ou par les groupes politiques armés, pour violer le droit international humanitaire et relatif aux droits humains.

Complément d’information

Des combats violents entre l’armée tchadienne et une coalition de trois groupes politiques armés ont fait rage dans différents quartiers de N’Djamena, capitale du Tchad, les 2 et 3 février 2008. De graves violations des droits humains et du droit international humanitaire ont été commises au cours des affrontements. La plupart des violations ont été commises après le 3 février, date à laquelle le gouvernement a repris le contrôle de la ville. Il s’est notamment agi d’exécutions extrajudiciaires, de disparitions forcées, d’arrestations arbitraires et de détentions illégales. Les défenseurs des droits humains et les journalistes considérés par les autorités comme sympathisants des groupes d’opposition ont subi une forte répression. Des dizaines de milliers de personnes ont été privées de toit et d’emploi à la suite de la campagne de démolition de maisons et de petites entreprises lancée par le gouvernement en mars dans le centre de N’Djamena et dans les quartiers limitrophes. Les enfants des familles touchées ont cessé d’aller à l’école.

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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 01:12
Depuis plus d’un mois, les pourparlers sont encours. L’Alliance Nationale, née à la suite d’une signature d’un protocole d’accord, le 25 fevrier 2008, suite à l’echec de l’offensive du 01 fevrier. La force de l’opposition armée repose sur son unification ; les politico-militaires en sont conscients. Plusieurs tentatives d’unification avaient été essayé, mais en vain. Aprés la violente bataille d’Abougoulem, en novembre 2007, l’UFDD seul a infligé une lourde perte à l’ennemi, mais faute de ravitaillement en hommes et materiels, les verts ont décroché. Une coalition militaire à été signé entre UFDD/F, l’UFDD et le RFC. Le Commandement Militaire unifié (CMU) a lancé l’offensive sur N’Djamena et la victoire etait decisive. La bataille militaire est gagnée mais celle de la politique a commencé entre les rebelles dés la rentrée à N’djamena. Chacun veut gouverner, donc ils décrochent en laissant Idriss Deby au pouvoir.

Eu egard, a cette nécessité absolue, tout les tchadiens et tchadiennes demandent l’unification des forces de l’opposition armée. Le processus d’unification est volontairement saboté par certains responsables politiques, la plupart font en quelques sorte le jeu de l’ennemi. Citons en tête l’exemple d’Adouma Hassaballah, président de l’Union des Forces pour le Changement et la Démocratie (UFCD), mouvement qui demande une unification totale des forces au cours des pourparlers encours. Adouma joue un jeu dangereux.. Les doutes planent sur lui. Adouma est un gendarme et ensuite policier, il a une vie modeste. C’est un en vérité un simple fonctionnaire subalterne, avec un salaire de misére, comme à l’habituel au Tchad. Il vit à Djamena avant d’aller au maquit, sa femme vivait toujours à N’Djamena au quartier Amriguébé. Depuis un certain temps les rumeurs courent les artéres de N’djamena, car sa femme qui utilisait le transport commun, se retrouve au volant d’une voiture de haute game coûtant environ cinquante million de franc cfa. Elle, dit-on acheter trois villas à Ndjamena, Adouma a t-il détourné les biens de l’UFCD pour arroser sa famille à N’djamena ? Ou c’est le prix de son ralliement ? Cet homme gagne plus depuis qu’il est président de l’UFCD, il n’a aucun avenir politique au Tchad, donc il n a pas intérêt de voir Idriss Deby tombé. Il blogue les pourparlers en demandant une unification totale, alors que la grande composante de l’AN, l’UFDD n’a pas oublié la bésogne d’Adouma et de son bras droit Toumssi, en détournant d’enorme materiels de guerre destinés au renfort de la colonne qui se bat à N’djmena. La rumeur selon laquelle Adouma et une partie de l’UFCD veut rallier se confirme. En demandant l’unification totale, Adouma n’a t il pas l’intention de rendre les forces à Idriss Deby ? Sa demande est deplacée et suspecte, car l’UFDD était l’unification de plusieurs forces, il a adhéré avec deux vehicules pour détouner une centaine des toyotas équipés des armes lourdes, Adouma a maladroitement trahit, en manquant du respect aux autres. Alors, il est capable de commettre une seconde besogne, ralliement contre un pot de vin, la rumeur de N’djamena estime à 200 millions de dollars, l’UFCD ne dispose pas un tel budget pour être détourner. Cette attitude peut donner raison à l’Alliance Nationale qui propose une nouvelle formule d’unification, pour eviter les détournements des materiels et équipé son ethnie et s’imposé dans le but de faire fortune. Le colonel Adouma Hassaballah ne peut être compter comme opposant, il semble joué le jeu de Deby au sein de l’opposition, comme Timan Erdimi.

Timan cherche à jouer au malin Biliate, pour lui et son clan, Deby doit être remplacer par un Biliate. Au contraire, il préfere Idriss Deby leur cousin que Nouri, donc, le RFC de Timan Erdimi cherche à tout prix de saboter l’unification. Il a reussit de tromper, le politique du niveau moyen, employé subalterne de l’Etat, le président Abdelwahid Aboud Mackaye de l’UFDD/F. Ce dernier suit les conseils et les tromperies de Timan, rêve de gouverner le Tchad ; non de Dieu ! on ne peut pas être président d’un pays du poste de sous-prefet adjoint du temp de Deby. Vu son profil, son CV, son niveau d’étude, Abdelwahid ne mérite même pas une place au sein d’un bon gouvernement. Ces individus sabotent le processus d’unification en cours et rendent le travail difficile à l’Alliance Nationale, l’organisation sur le quelle repose l’espoir du peuple.

Il n’est pas naîf de voir les profiles des dirigeants politiques. Les politiques de haut niveau comme Acheikh Ibni Oumar, Général Mahamat Nouri, Ahmat Hassaballah Soubiane, Abdramane Koullamallah, etc optent pour une nouvelle forme d’organisation conduisant à l’unification des forces. C’est un raisonnement logique et tout à fait intelligent, s’il faut regarder un peu en arrière ; plusieurs tentatives des rapprochements ont eu lieu entre certains mouvements. Le resultat n’est pas la victoire sur l’ennemi, mais on se separe, la raison principale armée son ethnie pour s’imposer. Avec une signature on peut sortir avec des armes et des vehicules, les malhonnêtes entrent en action. 

Ainsi donc, pour éviter tout differend entre mouvement ou ethnie ; certains plus expérimentés conçoivent une nouvelle forme d’organisation. Un grand ensemble qui réunit tout les mouvements au plan politique et militaire. Les mouvements peuvent se converger dans ce grand ensemble en gardant leur autonomie. On peut conclure en disant tout simplement que certains opposants representent le regime pas des combattants armés, donc ils saboteront le processus. Les saboteurs c’est des marchands des âmes, ils enrichessisent, l’unification qui conduira à la victoire du peuple ne les interressent pas.

 Le dialogue continue, même s’il y’a peut d’espoir



Mahamat Ali Adam
mahamatali70@yahoo.fr
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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 00:10

    

                  « Ne dit-on pas que la bouche qui mange ne parle pas. »

 

Un phénomène qui semble très obscure aux yeux des étudiants tchadiens au Maroc.

Ce phénomène n’est rien d’autre que la gestion des biens de la dite association.

Tantôt on nous fait croire que l’association est gérée par des étudiants élus démocratiquement.

Dans ce cas, les membres du bureau exécutif ont l’air de défenseurs  des intérêts estudiantins. Tantôt on a à faire à des jeunes corrompus par des fausseurs, voleurs et surtout ce dernier temps avec l’arrivée de quelques dupes munis des mannes pleines d’argents. Finalement qui dirige le bureau exécutif de l’association des étudiants et stagiaires tchadiens au Maroc (AESTM). ???

En cette douloureuse période que traverse l’association, notre rédaction demande au bureau exécutif de l’AESTM  d’être au coté des étudiants et non au coté des fausseurs surtout lorsqu’il s’agit de l’intérêt national.

 

A SUIVRE…… (Affaire de 17 étudiants à Marrakech, 150 euros détournés…….)

 

 

 

ABDALLAH CHIDI  DJORKODEI

            TCHADHANANA

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24 décembre 2008 3 24 /12 /décembre /2008 20:30
L'armée de l'air russe a achevé mercredi le transfert d'un groupe d'hélicoptères au Tchad dans le cadre de la mission de l'UE d'appui à la présence de l'ONU dans la région, a annoncé mercredi l'assistant du commandant de l'Armée de l'air russe Vladimir Drik.

"Le 23 décembre, un avion Iliouchine-76 de l'Armée de l'air a effectué le dernier vol dans la capitale tchadienne pour y transférer un groupe d'hélicoptères participant à la mission européenne d'appui à la présence de l'ONU au Tchad et dans la République Centrafricaine", a indiqué Vladimir Drik.

Les avions Il-76 et An-124-100 Rouslan ont effectué 15 vols depuis le 14 novembre dernier pour transporter plus de 130 hommes et 300 t de fret, dont sept véhicules et quatre hélicoptères Mi-8 MT, selon lui.

A partir de fin janvier 2009, les Il-76 relieront Moscou à Ndjamena une fois par mois pour assurer le fonctionnement du groupe d'hélicoptères russes au Tchad. Cinq vols sont déjà programmés pour 2009.

Les militaires russes dotés de quatre hélicoptères Mi-8MT, d'armements et des munitions nécessaires passeront 12 mois au Tchad conformément à un décret du président russe Dmitri Medvedev sur la participation des soldats russes à l'opération de l'UE en appui à la présence de l'ONU dans la région.

L'objectif de la mission, lancée en mars dernier sous mandat du Conseil de sécurité de l'ONU, consiste à sécuriser la frontière tchado-soudanaise ainsi qu'à aider les centaines de milliers de réfugiés du Darfour concentrés dans les pays limitrophes du Soudan.


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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 14:23
Pour comprendre N'Djamena City, il faut aller cherche sur Internet les rapports d'Amnesty International ou de Human Rights Watch sur le Tchad entre 1982 et 1990. Pendant ces années, Hissène Habré s'est maintenu au pouvoir par la terreur. Dans un pays qui comptait alors environ six millions d'habitants, quarante mille personnes ont été tuées, la plupart sans procès. A N'Djamena, la capitale, le centre de torture le plus redouté avait été construit en recouvrant une piscine d'une chape de ciment et en divisant la cavité en cellules minuscules.

Une bonne partie de N'Djamena City se passe dans les tréfonds de cet enfer, où les détenus sont maintenus en vie avec du pain rassis mélangé à des boyaux de mouton, la tartina (le titre original du film était "Tartina City"). Issa Serge Coelo est, avec Mahamat Saleh Haroun, l'un des deux réalisateurs de longs métrages tchadiens en activité. Son premier et précédent film évoquait les guerres civiles qui ont déchiré son pays depuis l'indépendance. N'Djamena City procède de la décision de mettre en scène l'horreur, sans ciller, sans ellipses. Le film suit le parcours d'Adoum, un journaliste arrêté à l'aéroport au moment où il s'apprête à quitter le Tchad. Il est incarcéré dans une prison souterraine qui n'est jamais nommée, dirigée par le colonel Koulbou (Youssouf Djaoro, qui jouait l'ancien tortionnaire dans le très beau Darat, de Mahamat Saleh Haroun). N'Djamena City veut être un double portrait, de la victime et de son bourreau. Celui-ci est défini par son sadisme, aussi bien à l'égard des détenus que de ses deux épouses. Le destin de la seconde et celui d'Adoum finissent d'ailleurs par se croiser.

C'est que N'Djamena City est un film étrangement construit. On sent bien sûr les contraintes matérielles, mais surtout une volonté d'échapper au poids de la réalité à travers des artifices de scénario ou de mise en scène qui ne font qu'affaiblir le récit. Or celui-ci aurait au contraire besoin d'être clarifié pour remplir sa mission. A ce jour, Hissène Habré et ses subordonnés n'ont pas été traduits en justice.

Film tchadien, d'Issa Serge Coelo avec Youssouf Djaoro, Felkissam Mahamat. (1h30)

Thomas Sotinel
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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 01:00

 

Le mois de novembre est un mois d’allégresse, de béatitude, d’euphorie, de gaieté, de griserie et surtout de hilarité chez certains étudiants tchadiens du Maroc et plus particulièrement ceux appartenant à la communauté Borgate. C'est un secret de polichinelle que de nos jours le communautarisme a infesté le milieu estudiantin au Maroc et ailleurs.


Il y a quelques jours, une délégation composée de trois personnes, toutes Borgates, est arrivée en terre chérifienne avec une manne remplie d'euros, environ 300 millions, si on en croit le fameux ministère de contrôle.

 

D’après toujours ce fameux ministère, cette somme est sortie tout droit du ministère de l’action sociale et de la famille et destinée aux étudiants tchadiens inscrits dans des écoles privées et ceux qui sont « hors quota » au Maroc, en Tunisie, en Algérie et en Russie.

 

Comme vous pouvez vous en douter, nous avons eu à faire à trois missionnaires incompétents, incultes, ignares, novices, bref de vrais béotiens. Et pourtant, ce sont ces trois guignols là qui ont été mandatés de partager ce pactole aux étudiants des pays ci-dessus cités.

Les deux jours consacrés à la distribution de ces aides financières sont des moments très riches en enseignements et aussi très colorés. Deux jours de fausses attestations d’inscriptions, deux jours de gaieté chez tous les étudiants Borgates. Je suis Borgate et donc naturellement proche de ces incompétents, j’ai reçu 500 à 600 euros. Je suis un simple Borgate, j’ai 300 euros. Et le reste  de nos frères, chacun a reçu exactement ce qu’il lui faut, c'est à dire en moyenne la somme de 150 euros.

 

Ce mois de décembre, la grand-mère de la communauté Kobé a donné naissance à un enfant au Maroc.

 

Un faussaire, travaillant à l’ambassade du Tchad en France, le nommé Mahamout Hassan, est envoyé au Maroc comme payeur. C'est un jeune bien connu pour ses péripéties mafieuses, il a grandi dans un cosmos de duperie, de filouterie, de fraude, de grivèlerie, d’indélicatesse et du vol. Muni de quelques textes soi-disant émanant du ministère des finances, il va s'en servir pour justifier sa forfaiture, une ignoble injustice qu'il produira dans le milieu estudiantin au Maroc.

 

Tenez-vous bien, le faussaire Mahamout Hassan a osé interdire tout retrait avec procuration. Car beaucoup d'étudiants laissent fréquemment une procuration pour le retrait de leur bourse et parfois même de leur diplôme. C'est sans compter avec le payeur qui va user de cette parade pour pouvoir bloquer une importante somme aux différents groupes de la communauté Kobé au Maroc. Et cela a bien fonctionné.

 

Tout proche de notre jeune payeur reçoit une somme équivalente à quatre procurations (600 euros). Tout autre étudiant de la communauté reçoit une équivalence de deux procurations (300 euros). Et le reste  de nos frères, chacun a reçu exactement ce qu’il lui faut, c'est à dire en moyenne la somme de 150 euros.



La question est de savoir pourquoi toute cette injustice ? Pourquoi ce tribalisme ambiant dans un milieu estudiantin ? Pourquoi cette aide ? Ceux qui sont dans les autres pays que ceux cités ci-dessus ne remplissent-ils pas les critères ? Et quand est ce qu'ils recevront leurs pécules ? Depuis quand a t-on initié ce genre d’aide ? Ce sont là une série de questions qui interpellent chacun d'entre nous à son niveau et qui méritent qu'on s'y pencher pour voir de plus prêt.

 

A suivre...

 

 

 

ABDALLAH CHIDI DJORKODEI

      TCHADHANANA


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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 20:38
N'DJAMENA, 22 décembre 2008 (IRIN) - Les organisations humanitaires ont lancé des programmes de nutrition thérapeutique d’urgence dans l’ouest du Tchad, où une étude récente a révélé que 20 pour cent des enfants de moins de cinq ans souffraient de malnutrition aiguë.

Comme il arrive fréquemment au Sahel, les manques chroniques dans la région tchadienne de Kanem ont donné lieu à un taux de malnutrition dangereusement élevé, exigeant une intervention d’urgence.

En plus du taux de malnutrition aiguë, l’enquête, menée par Action contre la faim (ACF) et publiée en novembre, a également révélé un taux de malnutrition grave de 2,8 pour cent, chez les enfants. Au sein d’une population d’environ un demi-million de personnes, sur 10 000 enfants de moins de cinq ans, trois enfants meurent chaque jour.

« Ces résultats sont alarmants », selon Kingsley Amaning, coordinateur humanitaire des Nations Unies au Tchad. « Si les causes de ces taux élevés de malnutrition peuvent être de nature chronique, il est clair qu’une intervention humanitaire est nécessaire ; il s’agit donc d’un problème humanitaire urgent que nous devons traiter ».

La semaine du 15 décembre, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) et ACF ont lancé des opérations d’urgence à Kanem, selon Marzio Babille, directeur de l’UNICEF au Tchad.

Dans l’immédiat, selon M. Babille, il faut ausculter les enfants, leur fournir des compléments nutritionnels et leur prodiguer des soins médicaux. A long terme, « nous devons prévenir la malnutrition, a-t-il déclaré, ce qui veut dire que nous devons immédiatement améliorer la qualité des repas servis dans les cantines scolaires et l’accès des familles à des aliments de qualité ».

Campagne d’immunisation

L’UNICEF a averti que sans une intervention rapide, les enfants atteints de malnutrition seraient exposés au risque de contracter certaines maladies telles que la rougeole. L’agence prévoit de mener une campagne de vaccination contre la rougeole à Kanem en janvier.

« Cela demande un effort concerté avec le gouvernement du Tchad, pour pouvoir immuniser les enfants contre la rougeole, leur distribuer des compléments de vitamine A et dispenser des soins de qualité aux enfants gravement sous-alimentés », a indiqué M. Babille.

Les Nations Unies et les représentants des autorités publiques ont indiqué à IRIN qu’une délégation du ministère de la Santé préparait une mission dans la région.

Compte tenu de la collaboration efficace entre le gouvernement et les organisations humanitaires, M. Babille s’est dit certain que les besoins d’urgence seraient satisfaits. « Le ministre de la Santé et le ministre des Affaires sociales ont immédiatement réagi en organisant une rencontre de haut niveau », a-t-il indiqué à IRIN. « J’ai bon espoir, au moins, que la phase d’urgence sera traitée ».

Parallèlement aux interventions d’urgence, des efforts devront être fournis en vue de faire face aux facteurs chroniques à l’origine de la malnutrition, selon les experts.

Besoin d’une collaboration et de financements soutenus

« Pour faire face à une telle situation [celle de Kanem], il faut que les partenaires d’aide humanitaire et d’aide au développement, ainsi que les bailleurs travaillent de concert », a indiqué Félicité Tchibindat, conseillère santé régionale de l’UNICEF pour l’Afrique de l’Ouest.

En plus des interventions vitales menées pour traiter les cas graves, des mesures doivent être prises pour prévenir la malnutrition grave : traiter les cas modérément graves, apporter une assistance nutritionnelle globale pendant la période de soudure, et améliorer les aliments complémentaires, a-t-elle indiqué.

« Il est également important d’assurer un financement soutenu et prévisible pour les pays à forte charge de morbidité, afin de pouvoir apporter un changement durable à l’état nutritionnel de la population », a indiqué Mme Tchibindat.

« Il est évident qu’un financement d’un an n’est pas la solution ». Selon elle, il est possible de s’attaquer à la malnutrition si l’on est assuré d’une collaboration générale et de financements suffisants, à long terme.

La région de Kanem se trouve au nord du lac Tchad ; l’étude représentative d’ACF portait sur la région située au sud de Mao, chef-lieu de Kanem.

Kanem est une région au climat sahélien rigoureux, et une bonne partie de sa population est nomade.

Selon Sylvain Trottier de la branche parisienne d’ACF, le taux de malnutrition élevé de Kanem est causé par l’insécurité alimentaire chronique qui règne dans la région, aggravée par la désertification et l’isolement de la région.

Certaines femmes n’ont pas accès aux informations sur l’allaitement et les techniques de sevrage, a-t-il ajouté, et n’ont que peu de ressources, car bon nombre d’hommes vivent loin de la région pendant de longues périodes.
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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 16:44

 


















 

 

×Mobiliser pour Construire ×

ACTION  TCHADIENNE  POUR  L' UNITÉ   ET  LE  SOCIALISME  

( ACTUS)

 

 

     ACTUS

 

 

  

 

N/Réf : 43/SG/2008

V/Réf :

 

MESSAGE DE SOLIDARITÉ ET DE SOUTIEN  DE L’ACTUS AU MANIFESTE  POLITICO-MILITAIRE DES FORCES DE RÉSISTANCE NATIONALE.

 

L’Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme(ACTUS) se réjouit de la signature du Manifeste politico-militaire des Forces de résistance nationale de l’Est, après de longues et âpres discussions.

 

Nous tenons ici à exprimer nos vives félicitations militantes aux cinq(5) Leaders des Forces de résistance nationale en l’occurrence le Général Mahamat Nouri Allatchimi de l’UFDD, le Colonel Ahmat Hassaballah Soubiane du FSR, Mr.Timan Hissein Erdimi du RFC, Abdelwahid Aboud Mackaye de l’UFDD-F) et le Colonel Adouma Hassaballah Djadarab de l’UFCD.

 

Ce Manifeste politico-militaire paraphé depuis les Territoires libérés de l’Est de Hadjar Marfaïne, est un pas décisif et capital pour la conquête du pouvoir par l’anéantissement du régime criminogène du dictateur Déby d’une part, et d’autre part il contredit les détracteurs de la légitime lutte armée de notre peuple contre la tyrannie. Ces alliés conscients ou inconscients du dictateur Déby, diffusent à satiété la désinformation selon laquelle les Forces de résistance nationale de l’Est  n’ont jamais disposé de programme politique pour le Tchad par conséquent elles sont inaptes à gouverner le pays. A tous ceux qui font l’apologie du dictateur Déby, seraient-ils assez audacieux de montrer au Peuple tchadien les réalisations socio-économiques  de leur poulain hormis ses performances inégalées en matière de pillages des ressources  du pays et d’assassinats des populations? Le dernier crime connu du tyran est celui de la liquidation physique  de l’Opposant Dr Ibni Oumar, en février 2008.     

 

L’application du Manifeste du 15 décembre 2008 sera un acte patriotique qui posera les fondamentaux de la renaissance de notre nation plongée dans un chaos par 18 années d’un pouvoir dictatorial, rentier de pillages et de guerres. En effet, malgré les milliards de pétrodollars déversés dans le pays, ce dernier demeure l’un des plus pauvres au monde et où le Peuple vit dans une misère jamais inégalée dans la mémoire collective de l’histoire nationale.

 

Tous les chapitres du programme du Manifeste: politique (pouvoir de transition, institutions), économique, social, sécurité et défense, diplomatique ont été abordés succinctement et avec clarté. Cette feuille de route tant attendue par le peuple martyr du Tchad ne serait matérialisée qu’après la prise du pouvoir. Cette dernière passe incontestablement par une unité d’action militaire que toutes les Forces de résistance nationale signataires du présent Manifeste se doivent d’instaurer dès à présent, sans tergiversations et sans retenue aucune. Les intérêts suprêmes de la nation devraient prévaloir sur toutes autres considérations catégorielles.

 

Notre Parti, l’Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme(ACTUS) réitère sa solidarité militante aux Forces de résistance nationale, unies au sein de l’Union des Forces de Résistance (UFR). Nous  approuvons la naissance de l’UFR doublée de son Manifeste, qui est indubitablement la plate forme minimale pour tous les patriotes résistants qui pourraient éventuellement y souscrire.

 

 

Camarades et Patriotes Combattants des Forces de résistance nationale de  l’UFDD, du FSR, du RFC, l’UFDD-F et de l’UFDC, les Masses populaires tchadiennes suppliciées dont  vous représentés le bras armé contre le dictateur Déby, placent en vous l’immense espoir de sa libération. En effet, il n’y a aucune autre alternative que celle de la lutte armée face à un régime qui est obnubilé par la guerre et qui refuse toute solution pacifique par la tenue d’une conférence inclusive de paix, maintes fois réitérées par tous les protagonistes tchadiens.

 

Notre victoire est certaine car notre cause est juste. Le Peuple n’acceptera jamais  d’être humilié,dominé et pillé indéfiniment par le tyran Déby soutenu et imposé par l’impérialisme

international et notamment par les gouvernements français successifs depuis 18 ans. Quels crimes de lèse majesté auraient commis les descendants des anciens braves soldats tchadiens de la 2ème division blindée du Général Leclerc, qui avaient participé à leur corps défendant à la libération de la France du joug Nazi ? Pourquoi les dirigeants français participent-ils à ces crimes en apportant leurs soutiens militaires, financiers et diplomatiques au tyran Déby ?

Le sinistre palmarès du sanguinaire Déby  est estimé à plus de 25000 tchadiens  tués selon les rapports des Associations des Droits de l’Homme. Le Peuple tchadien comme tous les autres à travers le monde à aussi le droit à la vie et à une existence digne et humaine. Il a par conséquent le droit et le devoir d’arrêter par tous les moyens ce génocide cyniquement programmé puis de traduire plus tard en justice le bourreau Déby et ses   complices pour crimes contre l’Humanité.

 

-  Hommage aux Forces  patriotiques de résistance nationale. 

-  Hommage aux martyrs tombés sur le champ de bataille  pour la libération du Peuple

   contre le dictateur Déby.

-  Vive la légitime résistance  nationale armée contre la dictature de Déby pour que vive  la

   renaissance d’un Tchad nouveau démocratique et prospère.

 

 

Le 20 Décembre  2008. 

Pour l’ACTUS (Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme)
Le Secrétaire Général

Dr LEY-NGARDIGAL Djimadoum
Tél : 06 29 97 25 71
Courriel : dley@hotmail.fr  

 

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