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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 00:07

 

 

                                                  Procès verbal du MDJT

 

 Décision N001 /PR//BP/MDJT/2009  Portant changement des structures politiques et militaire au sein du Mouvement pour la Démocratie et la Justice au Tchad (MDJT)

 

Ø Vu la résolution et recommandation du 3eme congrès

 

Ø Vu le règlement intérieur du mouvement

 

Ø Vu la décision N002 /SG/BP/BP/MDJT/2006 portant reconduction du Secrétaire Général du MDJT à la tête du mouvement.

 

Ø Une réunion extraordinaire des membres du Bureau politique et des hauts cadres civiles et militaires du mouvement se tenu au Tibesti dans le département de Zouar à Kayigué du 20 au 22 février 2009. Ont élus à l’unanimité les personnes dont les noms suivent au Bureau politique du MDJT.

 

1.     Président : Mr Hassane Sokaya Youssouf

 

2.     Secrétaire Général : Mr Djiddi Habré Chahaî

 

3.     Secrétaire Général Adjoint : Dr Mahamat Ahamat Hassane

 

4.     Secrétaire aux Relations Extérieurs : Mr Ousmane Hissein

 

5.     Secrétaire aux Relations Extérieurs Adjoint : Mr Issa Mahamat Issa

 

6.     Secrétaire à l’Intérieur et à la Securité : Mr Brahim Togoî OBKOR

 

7.     Secrétaire à la Défense : Le colonel  Bilgassim Azigueî

 

8.     Secrétaire à la Défense Adjoint : Le colonel Wardougou Arami

 

9.     Secrétaire à la Justice : Mr Korom Issakha Guelemi

 

10.                 Secrétaire à la communication et porte parole : Mr Ousmane Honoré

 

11.                 Secrétaire à la mobilisation et sensibilisation de masse: Mr Oumar

                                               Togoî OBKOR

 

12.                 Secrétaire à la sensibilisation et mobilisation de masse adjoint :

                                             Mr Mollé  Hedjer

 

13.                 Secrétaire à l’éducation : Mr Adoum Kosso

 

14.                 Secrétaire à la santé : Mr Awouridé Agono

 

15.                 Secrétaire aux affaires sociales : Mr Youssouf Brahim

 

La présent décision entre en vigueur dès sa publication, sera enregistrée et publier au besoin sera.

 

                                 Fait à Kayigué, le 23 Févier 2009

 

 

                       Le président du MDJT Mr Hassane Sokaya Youssouf

                                  

                                                   Tél: 008821621334663

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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 23:26
Avec le lancement des  négociations intergouvernementales sur la réforme du Conseil de  sécurité, les Nations Unies ont initié une nouvelle tentative de  restructurer leur organe le plus puissant.  

     Les ambassadeurs des 192 Etats membres de l'institution  mondiale se sont réunis en petits groupes à huit-clos jeudi pour  relancer un processus qui a duré des décennies sans aboutir jusque là à des résultats significatifs.  

     Les analystes estiment qu'à la lumière de la complexité de la  question et de ses très importantes implications, le chemin à  parcourir sera parsemé d'obstacles que seul un consensus  international sera capable de surmonter.  

     LA NECESSITE D'UNE REFORME   

     En dépit du caractère complexe de cette question, la grande  majorité de pays ont supporté la restructuration d'un Conseil qui  est largement resté inchangé depuis sa création dans les années  1940.  

     Lorsque le Conseil a tenu sa première session le 17 janvier  1946 à Londres, il avait cinq membres permanents avec le droit de  veto, à savoir la Chine, la France, l'Union soviétique, la Grande- Bretagne, et les Etats-Unis, ainsi que six membres non-permanents  élus sur la base régionale et pour un mandat de deux ans. En 1965, le Conseil a été élargi pour accueillir quatre autres sièges non- permanents et a maintenu depuis lors le nombre total de ses  membres à 15.  

     Avec un nombre croissant des membres de l'ONU et face aux défis du nouveau siècle, la plupart des pays s'accordent sur le fait que le Conseil de sécurité, fondé sur les cendres de la Seconde guerre mondiale, ne peut plus refleter pleinement les réalités  d'aujourd'hui.  

     L'un des problèmes chroniques est la sous-représentation des  pays en voie de développement qui représentent plus des deux-tiers des Etats membres de l'ONU.  

     Une plus forte présence des pays en voie de développement, en  particulier les Etats africains, aiderait mieux le Conseil à  endosser sa responsabilité première de maintien de la paix et de  la sécurité internationales.   

     PAS DE SOLUTION SIMPLE   

     Les analystes soutiennent qu'une réforme du Conseil de sécurité  ne revient pas à une simple admission de quelques autres membres.  

     D'après une résolution adoptée par l'Assemblée générale des  Nations Unies en septembre dernier, la taille d'un Conseil élargi  est seulement l'une des principales questions devant être  discutées au cours des négociations intergouvernementales.  

     D'autres sujets concernent les catégories de membres, la  question du veto, la représentation régionale, les méthodes de  travail du Conseil de sécurité ainsi que sa relation avec  l'Assemblée générale. 

     C'est la conjonction de toutes les questions relatives qui  forme la base d'une réforme qui rendrait le Conseil plus  représentatif, redevable et efficace.  

     Depuis 1979, lorsque l'Assemblée a introduit pour la première  fois la réforme du Conseil de sécurité dans son agenda à la  demande de dix pays en développement, plusieurs propositions et  initiatives ont été présentées. Jusque là, aucun progrès sensible  n'a été obtenu.  

     L'un des facteurs ayant empêché le progrès est la rivalité  régionale, avec des groupes d'intérêt différents bataillant sur ce à quoi devrait ressemblé le Conseil.  

     En fait, des concurrences intenses ont causé une profonde  division au sein des Etats membres de l'ONU.  

     Par conséquent, une solution globale qui sert les intérêts et  préoccupations de tous les groupes régionaux obtiendrait les  faveurs de la plupart des pays par rapport à celle qui aborde  simplement le statut de membre d'un petit nombre d'Etats.  

     D'après l'ébauche d'une "feuille de route" présentée par le  président de l'Assemblée générale, Miguel d'Escoto Brockmann, la  première série de négociations se tiendra en mars et avril pour  discuter des sujets clé relatifs à la réforme du Conseil de  sécurité, avec une seconde série prévue pour mai.  

     Les analystes estiment qu'il est peu probable que les  négociations aboutissent à des progrès significatifs très bientôt, en raison des profondes divisions entre les groupes régionaux.

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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 23:22
Le secrétaire  américain à la Défense, Robert Gates, a estimé vendredi que la  décision du Kirghizstan de fermer la base aérienne américaine  n'est pas une affaire close.  

     "Je tiens à croire que ce n'est pas une affaire close et qu'il  reste possible au moins de rouvrir cette affaire avec les Kirghiz  et de parvenir à un accord", a confié M. Gates aux journalistes au cours d'une réunion informelle des ministres de la Défense de  l'OTAN à Cracovie, dans le sud de la Pologne.  

     "Si nous ne sommes pas capables de le faire dans les termes  raisonnables, alors nous développons des méthodes alternatives  d'obtention d'un réapprovisionnement et des personnes pour  l'Afghanistan", a-t-il indiqué.  

     M. Gates avait affirmé jeudi que Washington était prêt à payer  davantage pour l'utilisation de la base de Manas.  

     Le parlement kirghiz a voté jeudi pour approuver la fermeture  de la base de Manas située à la périphérie de la capitale, Bishkek, et le président Kourmanbek Bakiev a promulgué vendredi la loi,  mettant un terme à l'accord de location avec les Etats-Unis.  

     Le ministère des Affaires étrangères kirghiz a indiqué avoir  officiellement notifié la fermeture de la base aérienne à  l'ambassade des Etats-Unis à Bishkek, en lui accordant 180 jours  pour faire partir ses troupes de la base.  

     L'accord américano-kirghiz sur l'utilisation de la base de  Manas a été signé en 2001, alors que les Etats-Unis ont lancé la  guerre en Afghanistan.  

     La base joue aujourd'hui un rôle important dans le transport  des troupes et des équipements, ainsi que des livraisons de  carburant pour les avions militaires, en Afghanistan.  

     L'OTAN a indiqué jeudi que la fermeture de la base aérienne ne  pourra pas avoir aucun effet direct sur les opérations de  l'alliance en Afghanistan. Le porte-parole de l'OTAN, James  Appathrai, a affirmé qu'il y a beaucoup de flexibilités dans la  chaîne d'approvisionnement en logistique pour l'OTAN et ses alliés. 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 22:59
Enfin, une bonne nouvelle, nous avons appris hier mercredi 18 février que le sommet sur la sécurité dans la bande sahélo-saharienne, qui devait s'ouvrir aujourd'hui à Bamako, était repoussé à une date ultérieure.
 
Pourquoi je dis bonne nouvelle? Nous voulons tous la sécurité, mais les acteurs invités n'avaient pas leur place à ce sommet.
 
Le président malien Amadou Toumani Touré (ATT) avait invité le président du Niger Mamadou Tandja, du Tchad Idriss Beby Itno, du Burkina Blaise Campaoré, de l'Algérie Abdellaziz Bouteflika et le leader libyen Muammar Kaddafi. Ce sommet est constamment reporté depuis septembre 2007, et à l'origine la Mauritanie devait y participer mais n'a finalement pas été invité en raison du coup d'état d'aout 2008.
 
Ce sommet anti-terroriste était une vaste éscroquerie et ne peut avoir lieu en raison des difficultés de chacuns des acteurs, tous les pays invités subissant une grande déstabilisation.
 
Le Mali et le Niger sont confrontés aux rebellions touareg et le Mali a aussi connu l'apparition du Gandaisso, héritier du Ganda Koy, mouvement xénophobe anti-touareg. Le Mali, le Niger et l'Algérie (ainsi que la Mauritanie) subissent les activités d'Al Qaida au Maghreb Islamique. Le Tchad connait ses multiples rebellions et Deby est désemparé depuis la création de l'UFR. L'homme qui depuis 2002-2003 déstabilisait le Darfour (Soudan) et la République Centrafricaine apparait de plus en plus comme condamné à être renversé dès que les rebelles se seront mis d'accord.
 
Au Niger, Mamadou Tandja voit l'opposition se muscler à mesure que l'élection présidentielle s'approche et sa volonté de faire un troisième mandat (ou de prolonger son deuxième) rique de déchirer le pays. En Algérie aussi la modification autoritaire de la consitution pour permettre à Bouteflika de faire un troisième mandat commence à être fortement critiqué. En plus depuis un an, la tension augmente dans le Mzab entre Mozabites et nomades Chaamba.
 
Quand au leader libyen, il se trouve de plus en plus isolé. Son intervention négative dans les affaires intérieures du Tchad, du Niger et du Mali lui vaut une hostilité grandissante des populations civiles. Sa volonté d'être considéré comme Roi des Rois d'Afrique et de vouloir fédéraliser l'Union Africaine ne passe pas. Au sommet d'Addis Abeba début février, Kadhafi n'a été soutenu que par le sénégalais Wade, le Tchadien Deby et le Béninois Boni Yayi; l'Union Africaine a manqué d'imploser; l’Algérien Abdelaziz Bouteflika, l’Ivoirien Laurent Gbagbo, le Congolais Denis Sassou Nguesso ou le Gabonais Omar Bongo n'ont pas fait le déplacement en Ethiopie, alors que jusqu'à récemment, Kadhafi, Bongo et Sassou se considéraient comme des frères. La fronde anti Kadhafi a été mené par l'ougandais Museveni. Même le sommet de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (Censad) n'a pas put se tenir et s'est résumé à une réunion à quatre (Wade, Kadhafi, Deby, Boni Yayi) sous la tente du guide. Le dictateur libyen est aussi mis en difficulté par de multiples affaires: sa liaison amoureuse avec une reine-mère d'un royaume fantoche d'Ouganda; le départ de Libye de son fils Saif al Islam, qui vient de s'exiler en Suisse et son principal collaborateur Jomaa Attiga a été arrêté sur l'ordre des caciques du régime. L'enquête sur la dispariton du fondateur du parti Amal, le libanais Moussa Sadr en Libye en 1978; les révélations sur le parcours de certains agents de la Libye, comme le palestinien Chaker al Abssi ou les libanais Assem al Jarrah et Refet al Jarrah, tous passé de la collaboration avec le bloc soviétique à l'intégration dans le réseau al-Qaida. Toutes ses affaires mettent à mal le prestige du Guide.
 
Véritablement, soyons satisfait que toutes ses personnalités corrompus subissent en ce moment des difficultés. Ce ne sont pas elles qui doivent parler de la lutte contre le terrorisme, car leurs mauvaises politiques ne font qu'augmenter la colère du peuple et donc le terrorisme. Et cette colère va croitre avec la crise économique et la chute du prix du baril de pétrole qui vide les caisses de la Libye, de l'Algérie et du Tchad.
 
Au moins une conséquence positive de la crise économique: mettre en difficulté des dictateur
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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 22:15

APA N’Djamena (Tchad) Le président tchadien Idriss Déby Itno, en visite depuis une semaine dans l’Est du Tchad, a accusé, mercredi, le Soudan de vouloir semer le désordre dans son pays, diviser le tchad et les enfants du Tchad.

«Le Soudan veut plonger le Tchad dans une guerre civile», a déclaré le général Déby, s’adressant à son armée depuis la garnison d’Addé, près de la frontière soudanaise.

Le chef de l’Etat a rendu un hommage appuyé aux officiers, sous-officiers, soldats et à tous les «frères d’armes» des zones opérationnelles de Tissi, Amdjiréma, Addé, Adré, Tiné.

«C’est grâce à votre ténacité, à l’amour de votre pays et au prix de votre sacrifice que vous avez protégé l’intégrité de notre territoire et mis à l’abri les populations tchadiennes des conséquences désastreuses d’une guerre», a-t-il dit.

«Vous avez toute la reconnaissance de la République», a ajouté le Général Idriss Déby Itno, exhortant son armée à continuer à défendre le pays avec la même détermination.

«Le gouvernement a mis à votre disposition du matériel. Il continuera à le mettre à votre disposition de manière à ce que tout aventurier qui entre dans notre territoire soit poursuivi et réponde de ses actes», a-t-il souligné.

«Le Tchad tout entier, dans ses 1.284.000 km2 est contrôlé par les forces de défense et de sécurité. Il n’y a pas de mercenaires à l’intérieur de notre territoire; il n’y a pas de bandits à la solde d’un autre pays sur notre territoire; il n’y a pas non plus des Djandjaweed sur notre territoire», a encore affirmé le chef de l’Etat.

Il a demandé aux officiers supérieurs de l’armée d’être «au-dessus de toutes les contingences pour conduire leur mission sacrée, celle des opérations de la défense de notre patrie».

«Au cours de vos opérations, vous les officiers, vous avez la lourde responsabilité d’assurer l’économie des hommes», a-t-il expliqué.

Selon le Général Idriss Déby Itno, «les ennemis du Tchad, précisément le gouvernement fantoche de Khartoum, ont tout mis en œuvre y compris les moyens financiers, des centaines de milliards de dollars, pour détruire notre pays».

«Jusqu’aujourd’hui, nous avons été responsables; le gouvernement tchadien a une conduite responsable; le peuple tchadien est un peuple responsable. Nous n’avons pas usé de notre droit de poursuite contre les mercenaires», a-t-il relevé, ajoutant que s’il n’a pas fait usage de ce droit de poursuite, c’est «pour la cohésion de notre continent».

«Désormais, que l’Afrique le sache, nous userons de notre droit de poursuite. Ainsi, j’ai instruit les unités en opération à Tissi, Amdjiréma, Addé, Adré, Tiné, Birack à redoubler de vigilance», a-t-il conclu.

Cette déclaration du Général Idriss Déby Itno à ses troupes sur la ligne de front est interprétée comme le coup d’envoi de la reprise des hostilités avec les rebelles.

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 20:34

 

Tchad actuel, prestidigitateurs ?

 

 

Les gens ont toutes sortes d’occupations : certains collectionnent les pièces anciennes ou les timbres, quelques uns s’intéressent aux travaux manuels ou aux bricolages, et d’autres consacrent presque tout leur temps libre à tel ou tel sport. Beaucoup apprécient aussi la lecture. Tout dépend de ce qu’ils lisent. On peut se contenter de lire des journaux ou des bandes dessinées, n’aimer que les romans ou préférer des ouvrages spéciaux sur des sujets aussi divers que l’astrologie, la vie des animaux ou des découvertes scientiques.

Si j’ai une passion pour les chameaux ou les pierres précieuse, je ne peux pas exiger aux autres qu’il la partage. Et si je ne manque  pas un reportage sportif à la télévision, cela ne me donne pas pour autant le droit de critiquer ceux qui trouvent les sports ennuyeux.

Mais il y a pourtant quelque chose de nature à intéresser tous les hommes, quelque chose qui concerne chaque être humain. « Son identité et sa race ».

 Qu’est ce qu’il a de plus important dans la vie ?

La nourriture pour ce lui qui ne mange pas à sa faim. La chaleur pour celui qui a froid. La compagnie des autres pour celui qui souffre de la solitude.

OU  bien qui nous sommes et pourquoi nous vivons ?

La meilleure façon d’aborder cette question pour un tchadien c’est de se poser quelques questions.

Comment en sommes nous arrivés là ?

Y a-t-il une volonté ou un sens à ce qui nous arrive ?

Ces chefs (Deby, Timan, Nourri, Adouma…) ont-ils la volonté de régler ces problèmes ?

Existerait-il une vie après ce qui se dessine à l’horizon ?

Comment faut-il vivre sa ?

Il est plus facile de poser ces questions que d’y répondre. Aujourd’hui il s’agit pour chaqu’un d’entre nous de trouver ses propre réponses. Inutile de chercher dans une encyclopédie.

On peut comparer cette chasse à la vérité à un roman policier.

 Certains croient que c’est Dupont d’autre que c’est Durant le coupable. Dans tous les cas il existe une solution et une réponse.

C’est comme un tour de prestidigitateur, qui sort de son chapeau un lapin blanc, on se demande comment il a fait, alors que l’on a vu un chapeau vide. Et on comprend qu’on s’est fait avoir. Malheureusement nous savons que le monde n’est pas un tour de passe-passe, nous vivons sur la terre.

Et nous sentons participer au mystère et aimerions comprendre comment tout ça est imbriqué ?

Et tchadactuel a un devoir,  nous dire la vérité sur les propos du General car ce n’est plus une histoire de « brèves de n’djamena ».

 

 

Koma

(Inspiré du monde de Sophie)

     wallafouza@yahoo.fr

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 19:30

Il a été publié un article très outrageant avec des fins haineuses portant atteinte à la dignité Gorane ; ethnie du nord du Tchad sur tchadactuel.com le site officiel de RFC le mouvement de Timan Erdimi actuel président de l’UFR le 16 Février 2009. L’article est publié dans « Les Brèves de N’Djamena » signé par Mahamat Ahmat un pseudonyme anonyme utilisé par un des frères de Timan Erdimi qui gèrent le site.

 

L’article met l’accent sur une prétendue « discussion » du General Abderahim Bahar Itno le Chef d’Etat Major de l’ANT avec ses subordonnés militaires appartenant à l’Ethnie Goran. Toutes nos sources nous indiquent que cette discussion n’a jamais eu lieu.

 

Par contre, le petit général s’en prenait quotidiennement aux éléments Ourera le sous clan de Timan Erdimi qui se trouvent encore dans l’ANT. Il les traitait des choses que notre déontologie journalistique et notre éthique politique ne nous permettrons pas de publier.

 

L’histoire a été montée de toutes pièces par le frère de Timan Erdimi pour en créer une presse à sensation dans le but de décourager les Gorans dans la milice de Deby de protéger le régime. L’auteur de l’article n’a pas cherché à savoir comment ses propos mal placés provoqueront profondément la colère de tous les Gorans ; du Kanem au BET, dans l’armée gouvernementale que dans la rébellion.  

 

Le site de tchadactuel.com a une histoire très abjecte de jouer sur les sensitivités ethniques et religieuses pour créer la division et monter certains tchadiens contre les autres afin d’atteindre leurs objectives politiques. Aucune ethnie n’a été épargnée. Des histoires similaires étaient montées contre les autres ethnies du Tchad auparavant.

 

Les Gorans ont déjà une histoire écrite qui se trouve dans les annales de beaucoup des historiens occidentaux. Ils n’ont pas besoin d’être glorifiés par les Erdimi pour exister ou bien insultés par tchadactuel pour disparaitre.

 

L’effet créé par cet article est très dévastateur pour la politique fraiche de Timan Erdimi qui cherche présentement beaucoup des alliés et moins des ennemis. Les gérants de tchadactuel peuvent continuer dans la ligne directrice qu’ils ont choisie mais les Gorans savent comment protéger leur honneur, fierté et dignité.

 

La Rédaction du Blog Chari

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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 19:28

L'équipe  de rédaction de michblog a pris très  aux sérieux les propos tenu par Dr Mahamat Ahmat « T1 » de Tchadactuel à la rubrique  les brèves de N’djamena, pour cette raison d’offenses contre toute une communauté, notre équipe a mobilisée ses maigres moyens pour vérifier,  cette source des injures insupportables vers nos compatriotes gouranes.

Grâce a nos efforts  et technologie de 21eme siècle nous avons pu contactés plus part des officiers et sous officiers Gouranes qui se trouve dans l’armée de tyran(Deby), parmi les personnes  interrogées il y a des hommes sincères et leurs paroles sont crue par leur connaissant mais ils sont surpris de nos questions. Et en plus ils nous ont rassurés qu’Abderahim Bahar n’a jamais exprimé ces propos, moins encore le mot dazagara.70% des officiers et  sous-officiers  disent depuis la nomination de T2 à la tête l’UFR le petit com-chef est devenu très clément particulièrement vers les officiers Gouranes.

Mr le docteur vous n’êtes pas  étranger de la communauté  Gourane, vous  savez tout les coutumes  et la tradition de la similitude et même je peux dire vous connaissez  plus que moi-même parce que vous êtes plus âgé que moi. Avec toute ta connaissance  comment tu te permets de déraper de telle manière. En sachant que chez les Gouranes l’honneur n’est pas donné mais s’arrache et comment vous avez  tenu des médisances  pareilles .On est désolé mais maintenant T2 est président de l’UFR vous faites des outrages contre une communauté entière donc si il est devenu président de la république quel sort  réservé a cette communauté ?

Mr le docteur, un adage tchadien dit « la blessure physique cicatrisera mais la blessure verbale cicatrisera  jamais » .On vous demande des éclaircissements sur ces invectives  avant que les réserves ne seront  dévoilées trouver nous la source  de  l’atteinte à la dignité de communauté tout entière.

Vous  êtes rusé  mais  les tous Gouranes ne sont pas des imbéciles et n’oublié pas que pour construire, unir c’est  très  difficile et  embêtant  or pour détruire, désunir c’est  facile faisable.

source:michblog 

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 16:39

Moussa, Abakar et Brahim sont sous leur nimier, lieu de rendez-vous quasi quotidien pour discuter de leur sujet favori : la politique, à l'ordre du jour aujourd'hui: la désignation de Timane Erdimi comme chef de la rébellion.


Moussa : Quelles sont les nouvelles depuis que Timane est chef ?


Abakar : Il paraît que certains se sont fait une raison, d'autres refusent et rejettent cette idée. D'après certaines informations, Soubiane a très clairement dit ce qu'il pensait à savoir que beaucoup de gens sont partis en rébellion à cause des actions menées contre eux ,justement par le groupe des Erdimi, à l'ombre de Deby , même le cas de Youssouf Togoïmi a été cité. Nouri et Adouma ont quant à eux adopté une attitude plus ou moins attentiste.


Brahim : certains ont dit aux Soudanais que leur choix est illogique, car comment comprendre que le groupe le plus faible parmi les 4 groupes que constituent la rébellion ,soit parachuté chef et en plus c'est le groupe le moins mobilisé ces hommes pour combattre Deby.


Moussa : C'est clair, que le choix des Soudanais est un compromis négocié avec la France et la Libye. Pour faire quoi ? That's the question. Est ce que vous voyez Timane Erdimi mobiliser les gens pour faire la guerre à Deby et le renverser ?


Abakar : Personnellement je pense qu'il aura beaucoup de difficultés à y arriver mais ce n'est pas impossible.


Brahim : En tout cas, moi, je pense qu'il sera difficile à Timane de sensibiliser, de rassembler parce que tout simplement, qu'est ce qu'il a fait pendant ces trois années. Il a tout fait pour créer des problèmes aux autres, il a semé la zizanie, intoxiqué les gens, bref empêcher les autres de s'organiser. Comment dans ce cas, peut-il aujourd'hui dire aux autres, travaillons ensemble ! !


Moussa : Exact, je ne sais pas si tu te rappelles mais les gens disaient que Timane affirmait à Khartoum à qui voulait l'entendre « si je ne suis pas chef, je préférais que Deby reste ». C'est extrêmement grave.


Brahim : Bien sur, pour certaines personnes, il a un pied dans la rébellion et un pied à N'djaména. Et puis, vraiment, rappelez-vous le comportement du Général Issakha Diar lors de l'entrée de la rébellion à N'djaména, …... on en revient toujours pas!


Abakar : Je pense que Timane a été le premier à être surpris par sa désignation, car si vous analysez son comportement, c'est celui d'une personne qui sait qu'il ne sera pas chef et qui torpille les autres. Son comportement étant effarant, et voilà qu'il est nommé chef et sa stratégie se retourne contre lui aujourd'hui. Il paraît qu'il a organisé une grande fête à Khartoum pour célébrer sa nomination. C'est très révélateur de son état d'esprit mais en même temps si peu sérieux.


Brahim : Il y a une grave crise de confiance et peut être plus car quand vous excluez de votre tête, l'idée même qu'un autre soit chef, l'autre est en droit de vous rejeter à son tour.


Moussa : A y réfléchir, on peut faire le constat que le RFC de Timane n'a jamais pu nouer une seule alliance avec un autre groupe au sein de la rébellion.


Abakar : Moussa, tu disais , Timane ,chef pour faire quoi ? A ton avis, il ne fera pas la guerre à Deby mais prendra la route de Tripoli pour des négociations ?


Moussa : Je peux me tromper mais le Soudan à l'heure actuelle n'est pas dans une poussée guerrière contre Deby. Pourquoi je dis ça ? Parce que le choix de Timane est un choix qui entraine des difficultés, des frustrations, des mécontents et même des divisions au sein de la rébellion. C'est tout le contraire d'un choix mobilisateur, de renforcement, et cela les Soudanais ne peuvent l'ignorer. Donc, s'ils l'ont fait ,c'est qu'ils ne voudraient pas voir la rébellion se renforcer, être puissante. Pourquoi ?


Brahim : Bien vu, mais c'est une stratégie peut-être à court terme, en attendant l'évolution des négociations du MJE avec le régime soudanais. Cela veut dire que dans cette phase, le Soudan s'occupent uniquement de sa politique intérieure.


Abakar : Timane chef, est ce qu'il y aura des trahisons dans le clan Deby, d'importantes défections au sein de l'armée, de telle sorte que la chute sera plus rapide ?


Moussa : Ce sont les théories bidon des français, il y aura peut être quelques départs et encore il faudra que la rébellion fasse une démonstration de force d'abord. Ensuite, les choses sont plus complexes, constatez-vous même le peu d'adhésions récoltées par les Erdimi depuis leur rébellion. Il n'y a pas eu de départs massifs des combattants de Deby vers eux, mais bel et bien l'inverse.


Brahim : A mon avis, pour que le schéma de la division du camp Deby au profit de la rébellion fonctionne, il faudra que la France montre des signes très clairs d'un lâchage de Deby, ce n'est pas encore le cas mais ce n'est pas impossible. D'ailleurs l'attitude de Deby par son surarmement et le recrutement des mercenaires Algériens, Ukrainiens et Ghanéens prouvent qu'il n'a pas écarté cette hypothèse.


Moussa : est ce qu'il ne faut pas voir dans la désignation de Timane Erdimi comme chef une politique soudanaise visant à envoyer un message au MJE, en disant en quelque sorte que nous ne sommes pas contre les Zaghawas (et donc il n'y a pas de politique de génocide comme le prétendent les occidentaux). On peut faire le constat qu'après la désignation de Timane, le Soudan a déclenché les négociations avec le MJE, si les accords se réalisent le Soudan aura ainsi réussi à apaiser l'environnement politique autour de la question du Darfour. Par conséquent, la CPI en décernant un mandat d'arrêt contre El Béchir, aura le rôle de celle qui attise le feu. Ce n'est pas le rôle de la justice.


Des sirènes se font entendre longuement et interrompent le débat. C'est quoi demande Abakar à un passant ? Inauguration de je ne sais quoi répond t-il.


Abakar : Le couple présidentiel est parti pour une nième inauguration. Après l'hôpital, la maternité, l'université, le musée, rien que du vent.


Moussa : Je les invite à venir inaugurer avec nous, l'entrée des populations tchadiennes dans l'ère où les gens cuisinent en chauffant du gravier avec du pétrole lampant ou en utilisant de la bouse des vaches vendue par charrette dans les rues de la capitale d'un pays pétrolier.


source : ambenatna
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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 18:20

Le Tyran Timane n’est pas l’homme qu’il faut à la tête de l’UFR.


Nous ne combattons pas la personne de DEBY mais plutôt son système dictatorial, son système de détournements, ses mauvaises idées  qui disent «  être à la tête d’une direction ou d’un ministere, c’est juste pour se servir et laisser la place aux autres qui ont aussi crié fort pour le MPS ».

Nous voulons libérer notre patrie prise en otage par la famille Itno et la famille Erdimi.
Le peuple tchadien commence à s’inquiéter à l’honnêteté des leaders de différents  mouvements politico-militaires. Les vaillants combattants entreraient bientôt en opposition de cette mafieuse désignation à la tête de l’UFR. Les appels viennent de partout (des veuves, des orphelins, des pauvres, des marginalisés,.......). Pourquoi avez-vous pris les armes ? Contre qui ? Et alors qu’est ce que vous entendez ? Entre Deby et Timane, les combattants choisiront Deby.

Qui a instauré ce système ? Qui a enseigné ces idées à notre General Président Deby ?

C’est bien l’autocrate Timane.

Pas des insultes ni atteintes des personnes.

  La rédaction n’est concernée ni de près ni de loin de tout commentaire posté sur cet article.

    Merci pour votre compréhension. 

 

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