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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 01:05

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 01:08

L'arrestation arbitraire d'un des principaux responsables de la Résistance, M. Abdelwahid Aboud Makaye, lundi 27 novembre, à Khartoum, n'est que le dernier épisode d'une longue série d'exactions commises par las autorités soudanaises contre les opposants tchadiens.

Depuis la très mal nommée « normalisation » des relations entre les deux gouvernements, en janvier 2010, on assiste à la banalisation des arrestations, enlèvements, extraditions illégales et parfois même assassinats de combattants, officiers, cadres et chefs politiques.

Le seul « crime » des mouvements politico-militaires, c'est d'avoir cru aux termes du premier communiqué « normalisateur » publié lors de la visite du conseiller du président Al Bashir, le Dr Ghazi Salahedin Atabani,le 15 janvier 2010 : « Les deux parties appellent les groupes armés d'accepter l'appel à la paix lancés par leur Gouvernement respectif »

Il n'est pas inutile de rappeler que l'opposition politico-militaire, dès le début de la nouvelle crise au Tchad, -crise déclenchée par l'instauration de la présidence à vie à travers la dénaturation de la Constitution, en 2005- avait constamment affirmé sa préférence pour une solution politique, à travers un dialogue national inclusif.

Les Chefs des mouvements avaient accepté de déposer les armes, de caserner leurs forces militaires loin de la frontière, et  se rendre en délégation à Khartoum pour les pourparlers politiques avec le gouvernement du général Déby Itno, en mai 2010.

Depuis cette date, les régimes tchadien et soudanais ont mis en place un système d'oppression et de répression contre les opposants tchadiens, d'une cruauté inouïe.

A ce jour, le Colonel Adouma Hassballah, et le leader syndicaliste Djibrine Assali, sont illégalement détenus en Éthiopie pour le premier et au  Soudan pour le second.

Les plus « chanceux » des responsables avaient été expulsés manu militari, leurs collaborateurs et militants dispersés à travers le Soudan, avec interdiction de contacter les organismes humanitaires,  les missions diplomatiques et la presse. En particulier, le HCR et la Commission des nations-Unies pour les droits de l'homme, sont restés indifférents à toutes les démarches faites avec beaucoup de risques parmi les Tchadiens sur place, ainsi que par le CNCD et les autres organisations tchadiennes au niveau de leurs sièges.

Des « charters » clandestins sont régulièrement organisés entre Khartoum et N'Djamena, transférant des dizaines de cadres et officiers dont certains ont été assassinés ou maintenus au secret.

Citons à titre d'exemple les colonels Mansour Youssouf Adam, Hassan Hemchi Tchawlaye, et le défunt Djibrine Azène.

De façon plus discrète, une véritable chasse à l'homme est menée quotidiennement par la « Force mixte » dans les localités frontalières contre des civils innocents soupçonnés de sympathie ou de parenté avec les chefs de l'opposition .

Reprenant notre communiqué du 08 juillet, Le CNCD  demande  que:

Le colonel Adouma Hassaballah, Djibrine Assali et Abdelwahid Aboud-Makaye ainsi que tous les militants, officiers et cadres détenus soient libérés sans condition et autorisés à voyager aux pays de leur choix.

La Croix Rouge et les organisations humanitaires soient immédiatement autorisées à rendre visite à ceux emprisonnés au Tchad, au Soudan et en Éthiopie, que les bureaux du HCR au Soudan procèdent à l’enregistrement des demandeurs d’asile.

Les gouvernements tchadien et soudanais s’engagent solennellement à respecter les principes humanitaires et les conventions internationales, notamment celles interdisant la tortures et les détentions extrajudiciaires, et engagent un vrai dialogue avec leurs oppositions respectives ; ce qui constitue la meilleure garantie contre les violences récurrentes et pour une véritable stabilité.

Le CNCD lance un vibrant appel à toutes les forces démocratiques pour une vaste mobilisation, en multipliant les démarches et les actions pour exiger la fin des politiques de répression et d’arrestations arbitraires.

Fait le 07 décembre 2011
Annette Laokolé
Coordinatrice du CNCD

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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 02:35

Herman Cain, candidat républicain à l'investiture républicaine pour la présidentielle de 2012, a annoncé, samedi 3 décembre, à ses soutiens qu'il suspendait sa campagne en raison des accusations de harcèlement sexuel et d'adultère qui brouillent sa candidature.

"Je suspends ma campagne présidentielle à cause des incessantes diversions qui ne cessent de me blesser ainsi que ma famille", a-t-il déclaré à ses soutiens réunis à Atlanta devant ce qui devait être son siège de campagne. Le candidat noir-américain, auprès de qui se trouvait sa femme Gloria, a affirmé que les Lire la suite

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 20:19

L’Ukraine a emporté 685 véhicules de combat de 2005 à 2010, rapporte l’APA, citant le Registre des armes classiques de l’ONU. Viennent ensuite, la Russie avec 591 véhicules
de combat et le Belarus avec seuls 2 véhicules. Les pays exportateurs, sauf la Russie, ont indiqué les modèles, paralellement au nombre des véhicules vendus.

L’Asie trouve en tête de la liste pour l’achat des armement avec 78.3%. 17.5% des armements ont été vendus en Afrique et 4.2% en Amérique. Les importateurs
essentiels de ces pays de la CEI sont les suivants : l’Irak (190), l’Azerbaïdjan (165), le Yémen (154), le Tchad (135) et le Kazakhstan (104).

La Russie a réalisé les exportations aux 13 pays pendant la période de rapport. Le Kazakhstan et le Bangladesh sont des clients principaux de l’arme russe. Le
Kazakhstan a acheté 102 véhicules militaires de la Russie. Le Bangladesh a importé 100 véhicules militaires russes. Lire la suite

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 07:15

 


(Photo: Xinhua/AP)

Une résolution a été adoptée vendredi à Genève lors d'une session spéciale du Conseil des droits de l'homme pour condamner fermement les violations graves des droits de l'homme que continuent de commettre les autorités syriennes et créer un mandat de rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme en Syrie.

La Résolution préparée, par l'Union Européenne, a été votée avec 37 voix pour, 4 voix contre (Chine, Cuba, Russie et Equateur) et 6 abstentions (Angola, Bengladesh, Cameroun, Inde, Philippines et Ouganda).

Cette résolution « décide la création du mandat de Rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme en Syrie ». Elle « invite le secrétaire général de l'ONU, en accordance avec ses fonctions, de prendre les mesures nécessaires pour soutenir les efforts de la Ligue Arabe, si elle le demande ».

La Résolution « décide que le rapport de la Commission d' enquête soit transmis au secrétaire général pour la prise d' actions appropriées et la transmission à tous les organes concernés et lui demande de présenter un rapport sur l'application de la résolution à la 19ème Session du Conseil des droits de l' homme (27 février- 23 mars 2012).

Le Conseil des droits de l'homme a tenu une session extraordinaire consacrée à la situation des droits de l'homme en Syrie. Il a exprimé sa préoccupation quant à « la poursuite des violations graves et systématiques des droits de l'homme qui pourraient constituer des crimes contre l'humanité». .

Le Conseil avait déjà convoqué, le 29 avril et le 22 août de cette année, deux sessions extraordinaires consacrées à la situation des droits de l'homme en Syrie. Le 23 août, le Conseil avait décidé de dépêcher d'urgence une commission d'enquête internationale indépendante, qui a présenté son rapport le 28 novembre.

Durant le débat de la matinée, le chef de la Commission d' enquête établie par le Conseil des droits de l'homme, Paulo Pinheiro, ont demandé que « les violations grossières des droits de l'homme cessent », « que l'accès humanitaire soit autorisé ».

La Haut-Commissaire des droits de l'Homme, Navi Pillay, a déclaré que depuis mars dernier, la violence avait causé « plus de 4.000 morts et plus de 14.000 personnes seraient en détention des suites de la répression des manifestations». « Les pays voisins ont reçu au moins 12.400 réfugiés et des milliers de déplacés internes ».

La Haut-Commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme Navi Pilley a souligné que les autorités syriennes maintiennent une répression qui pourrait conduire le pays à une guerre civile. Compte tenu de l'incapacité des autorités syriennes à protéger leurs citoyens, la communauté internationale se doit de prendre de toute urgence des mesures efficaces pour protéger la population.

La délégation de la Syrie a mis en cause l'objectivité du rapport de la commission d'enquête, « qui se contente de critiquer et ignorant les informations présentées par le gouvernement syrien, notamment sur les lois et législations adoptées pour améliorer la situation de la population syrienne ».

Le représentant syrien, Faysal Khabbaz Haboui, a aussi regretté qu'il ne soit pas tenu compte des réformes mises en place par le gouvernement syrien. Cette «négligence préméditée» devrait « contribuer à jeter de l'huile sur le feu », a-t-il estimé, et « remet en question la crédibilité et l'objectivité du Conseil ».

Le représentant de la Fédération de Russie, Valery Loschini, a fait part de la « profonde inquiétude » de son pays devant les événements tragiques qui se déroulent en Syrie. Il a déploré que « le conflit soit attisé par certaines forces extérieures » pour compliquer encore la situation.

Toute action de la communauté internationale relative à la Syrie doit être conforme au droit international et à la Charte des droits de l'homme, de même qu'elle doit respecter la souveraineté de la Syrie, y compris son intégrité territoriale, a affirmé le diplomate russe.

Les pays arabes (Koweït, Jordanie, Arabie Saoudite, Qatar et Libye) ont estimé que les démarches de la Ligue arabe doivent servir de point de départ à l'action de la communauté internationale.

Source: Xinhua

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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 00:01

 J'ai fait un constat mathématiquement  significatif depuis que j’étais sur ce réseau social, un réseau où la présence et la participation  de la jeunesse tchadienne est importante, Facebook. Généralement, dans la rédaction de nos articles, nous essayons d’une manière ou d’une autre  d'emmener ce peuple marginalisé, torturé, asphyxié de tout oxygène des libertés, mal-nourri et malformé à prendre conscience de l’étendue du désastre dans lequel il est plongé. Or, pas mal de cancers minent encore notre peuple et l’empêche de méditer en profondeur. Parmi ces cancers, il y a évidement l'alcool. Je sais que les frères musulmans font bien cette remarque. Ils constatent combien l'alcool est entrain de nous abêtir au Tchad. Hélas, au risque de se faire traiter de régionaliste, ils préfèrent se taire. C'est donc, en étant un habitant de la zone méridionale, c'est à dire, entouré depuis mon jeune âge des soulards, que j'écrirai un article sur ce fléau qui continue à semer la folie chez certains de nos compatriotes. On ne peut conscientiser le peuple tant qu'il sera encore esclave de certains phénomènes comme analphabétisme, le régionalisme, l’alcoolisme...

Le patriote

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 18:20

ESSAI.jpg

L’horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma.    Il n’y a pas d’explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d’une phrase : « Non, c’est fini » et claque la porte » avait dit  Anthony Burgess.

Ayant appris avec une vive émotion et une grande affliction la triste nouvelle de la disparition de Hadjé Marada Yoskoido, décès survenu ce Samedi 26 Novembre 2011  à Tours en France  des suites d’une longue maladie.
En cette douloureuse circonstance, j’adresse mes condoléances les plus attristées à ses enfants - Brahim, Hassan, Werimi, Oumar(Djiddo), Tahir et tous les autres frères et sœurs,  la famille YOSKOI,  Ahmat KOCHI et amis en général.

 Nous savons qu’inéluctablement, un jour l’existence se termine pour chacun d’entre nous. Ces quelques mots ne modifieront pas ce triste état de fait. Pourtant, je tiens à vous témoigner toute ma compassion.
Pour vous, j’espère voir cette épreuve s’effacer petit à petit, au fil du temps.
Puisse le seigneur Tout-puissant accueillir la défunte en  son vaste paradis, lui attribuer la meilleure récompense de ses œuvres pieuses accomplies en ce monde.
A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.

Abdallah Chidi DJORKODEI

Tchadhanana

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 20:35

 

BORKOU : La population de la région du Borkou est mecontente de la gestion du Système Sanitaire par le Délégué  Régional Adoum Mahamat. Un Délégué devenu obstacle caractérisé entre le ministère de la santé publique  et la région du Borkou.  Les pauvres habitants  de cette région demandent au Délégué de bien jouer son rôle administratif que de bloquer toutes les lettres adressées au Ministère de la Santé. A suivre…

Lire la lettre adressée au Délégué Régional Adoum Mahamat par la Coordination de la Société Civile


Lire la suite de la lettre adressée au Délégué Régional Adoum Mahamat par la Coordination de la Société Civile

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 20:12

 

·          Considérant que depuis plus de vingt ans, le MPS et son président Idriss Déby  ont pris en otage le peuple tchadien  qui ploie dans la misère en dépit de ses immenses et riches potentialités humaines et naturelles ; 
·         Considérant que  depuis la tenue des assises de la CNS en 1993, de la Table ronde à Libreville en 1994 et de différents accords avec l’opposition démocratique et politico-militaire qui ont, par l’absence d’une volonté politique du pouvoir en place,  échoué à ramener la paix durable au Tchad, le régime MPS continue de sévir dans sa logique de violence en accordant aucune importance à la  réconciliation  des filles et des fils du pays ;
·         Considérant que  le droit au suffrage universel du peuple  est souvent bafoué par le régime dans tous les simulacres de consultations organisées pendant son règne arbitraire et clanique dans le seul but de maintenir Idriss Déby à une présidence à vie ;
·         Considérant que les forces démocratiques (partis politiques et organisations de la société civile) sont émasculées et rendues inefficaces par l’hégémonie  et la corruption ;
·         Considérant que  des dérives dictatoriales  du régime  caractérisées par la gabegie, l’incivisme, la corruption, la mauvaise gestion ont annihilé tous les efforts du développement économique et social ;
·         Considérant que la politique  d’exclusion  et  du clanisme dans  l’administration, des forces de défenses et de sécurité  et dans tous les secteurs économiques   ont provoqué des frustrations  sociales ;
·         Considérant les violations massives et répétées des droits  fondamentaux des citoyens à la paix, à la sécurité, à l’égalité devant les lois républicaines et à la justice sociale ;
·         Considérant que  des massacres, des exactions, des violations des droits de l’homme et des assassinats politiques ont été de tout temps des œuvres abominables du régime MPS ;
·         Considérant que la liberté d’expression et de presse  est  sous surveillance des lois scélérates ;
 
Vu le désir du changement  largement partagé par le peuple tchadien ;
 
Nous , filles et fils du peuple tchadien opprimé
Après avoir analysé le contexte sociopolitique du pays et après des mûres réflexions,
Décidons:
1/ : IL est créé  une organisation politico-militaire dénommée Union Nationale pour un Tchad Libre et Démocratique(UNTLD).
2/ L’UNTLD a pour objectif de  lutter pour un changement démocratique, une  justice sociale et  une paix durable au Tchad.
3/Le document cadre et les textes statutaires seront rendus publics ultérieurement
4/ L’UNTLD reste ouverte à toutes les forces vives du pays éprises de paix, de justice et de patriotisme tout en  invitant par conséquent à une mobilisation de tous les enfants du Tchad  pour un sursaut véritablement national afin de produire un changement  positif dans le pays.
 
Prenons à témoin la communauté internationale en particulier l’ONU, l’UA, et  l’UE ainsi que des pays amis du Tchad notamment la France et les États-Unis d’Amérique sur la tyrannie en cours dans notre pays, tout en sollicitant leur soutien pour faire prévaloir le droit du peuple tchadien à disposer de lui-même.
 
 
 
Fait à Paris,                                                                           le 28 Novembre 2011
Pour l’UNTLD
Le coordonnateur
Abdelkerim  Bachar Abdelsalam

 

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 20:08
Tous les signaux sont aujourd’hui perceptibles pour que le Tchad connaîtra enfin un changement véritable. Très certainement cela passera par des sacrifices et la lutte armée qui est déjà en préparation est l'une de meilleure formule pour faire pilier le régime qui ne connait malheureusement que ce langage. Que les tchadiens n’attendent rien d’ un soulèvement interne qui sera réprimé dans le sang. Mais avec  un rapport de force équitable, c’est-à-dire militairement, les possibilités de faire tomber la dictature tchadienne sont évidents.  Aujourd’hui au Tchad, le fait  que toutes les ethnies tchadiennes sont désarmées mêmes  les tchadiens qui détiennent légalement des armes au profit d’une seule ethnie, montre que les tchadiens doivent peaufiner des stratégies idoines pour aboutir au résultat attendu par tout un peuple après 21 ans d’humiliation et de dictature atroce.
Il faut rassurer également les tchadiens qu’il n’aura pas des chasses au sorcières, mais celles et ceux qui ont commis des actes contraires aux lois, seront traduits devant les juridictions nationales ou internationales compétentes. C’est pourquoi, il est important que tous les acteurs tchadiens, surtout ceux de la diaspora se retrouvent sous une plate forme pour mieux unifier les forces politiques et militaire afin que le changement du régime abouti,  une véritable transition prenant en compte toutes les aspirations du peuple s’instaure pour mener à bien le Tchad vers un processus véritablement démocratique. Dans ce cadre, les forces unifiés doivent travailler avec nos partenaires tels que : l’UE, L’UA, les USA, la France,  le Soudan, la Libye, la chine…afin de les rassurer  et assurer de la pleine coopération du nouveau  Tchad et de la préservation des intérêts réciproques. Il est aujourd’hui vivement souhaitable que le changement en Libye puisse apporter un changement au Tchad afin que les deux pays puissent vivre en paix et en harmonie renforçant leur coopération multiformes. Il était temps que le régime du MPS change.  Il appartiendra aux tchadiens de l’intérieur comme ceux de l’extérieur de renforcer cette dynamique en marche pour un changement véritable au Tchad. L’heure n’est plus aux tergiversations mais à l’action concrète. La voie de la résistance, du sacrifice et de la libération de toutes les couches tchadiennes du nord au sud, du centre et de l’est à l’ouest est plus que jamais déterminante.
Résistant tchadien contre la dictature au Tchad
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